Prononcé à l'occasion de la réception du prix Nobel de littérature en 1990.

Publiés à l'occasion du dizième anniversaire de la mort d'Octavio Paz, ces 24 entretiens s'échelonnent entre 1949 et 1997 et constituent une sorte de panorama de l'homme et de son écriture à travers des thèmes et des sujets variés : le dialogue des cultures, les voyages, la poésie et les arts, la conquête de l'Amérique, le surréalisme, etc.

Dans cet essai pénétrant sur Fernando Pessoa, l'auteur éclaire les relations complexes qui unissent et distinguent la vie et l'oeuvre, l'être profond et la mise en scène des hétéronymes, enfin le poète et son identité perdue. Un précieux témoignage sur l'auteur qui, interrogeant le destin d'un poète, interroge aussi le sien.

Né à Mexico le 31 mars 1914, Octavio Paz est considéré comme le plus grand poète d'Amérique latine et un théoricien hors pair de la littérature. Ambassadeur du Mexique en Inde pendant de longues années, il n'a cessé de confronter la conception occidentale de la création à celle de l'Orient. Il a dirigé Vuelta, la plus importante revue d'Amérique latine et a aussi donné des conférences dans diverses universités d'Europe et d'Amérique. Octavio Paz a reçu le prix Cervantès en 1981 et le prix Nobel de Littérature en 1990. Il est décédé à Mexico en avril 1998.

Né à Mexico le 31 mars 1914, Octavio Paz est considéré comme le plus grand poète d'Amérique latine et un théoricien hors pair de la littérature. Ambassadeur du Mexique en Inde pendant de longues années, il n'a cessé de confronter la conception occidentale de la création à celle de l'Orient. Il a dirigé Vuelta, la plus importante revue d'Amérique latine et a aussi donné des conférences dans diverses universités d'Europe et d'Amérique. Octavio Paz a reçu le prix Cervantès en 1981 et le prix Nobel de Littérature en 1990. Il est décédé à Mexico en avril 1998.

"Je ferme les yeux,/j'écoute sous mon crâne/le pas du sang,/j'écoute/passer le temps par mes tempes./Je suis vivant encore./La chambre s'est ensablée de lune./Femme :/fontaine dans la nuit./Je m'accorde à son cours paisible."