Jules renard revit avec la plume d'Agnès Rosenstiehl. Rien n'est plus éternel que la vie quotidienne de deux enfants. Nos petits d'aujourd'hui s'y retrouveront sans peine. Un journal de campagne qui fourmille de mille observations. A partir de 5 ans. (IBBY - Luc Battieuw)

A l'occasion du centenaire de la mort de Jules Renard, le 22 mai 1910, découvrez les plus beaux passages de son journal intime rédigé à partir de 1887. Véritable carnet de travail, complice virtuel, ce journal est " un rassemblement d'idées, des pistes à explorer, des confidences, des bribes de conversation, comme autant de bijoux de concision. " Au fil des pages, Jules Renard dialogue avec lui-même, mêlant ironie mordante et lucidité, cynisme et humilité d'un homme avec ses qualités et ses défauts. Ce journal est une vraie pépite. " un labyrinthe dans lequel il faut s'abandonner pour avoir le bonheur de se perdre ". Joseph Vebret a sélectionné pour vous ces extraits singuliers. Romancier, dramaturge, auteur d'anthologies et d'essais littéraires, il anime Le magazine des Livres et publie chez Librio les Grands procès de la littérature.

Trois journaux intimes avec des plumes sensiblement différentes et un accompagnement pédagogique en 5 parties : des ouvertures pour définir le genre du journal intime et faire connaissance avec les trois auteurs, des arrêts sur lecture autour de trois problématiques et des bilans sur les questions de style. ©Electre 2022

Réédition des pièces de J. Renard augmentée de l'adaptation contemporaine pour la scène de son roman L'écornifleur et de son journal. Un dossier complète l'ouvrage et propose, pour chacune des pièces, des citations illustrant les thèmes de prédilection de l'auteur (l'amitié, la femme, la famille, etc.), des hommages, les témoignages de metteurs en scène et comédiens.

Dans son Journal, au détour d'une page, Jules Renard remarque ironiquement à propos de ces petits poèmes en prose : "Buffon décrit les animaux pour faire plaisir aux hommes, moi je voudrais, s'ils pouvaient lire mes petites Histoires naturelles, que cela les fit sourire..." Les images de Michèle Daufresne et les calligraphies de Patrick Cutté s'intègrent naturellement dans l'univers de poésie et d'humour qui font tout le charme de l'ouvrage

Paru en 1894, le récit de la vie d'un enfant au physique ingrat, affublé d'un sobriquet, sans nom ni illusion. Pas aimé par sa mère, rabroué par son frère et sa soeur, il s'habitue aux mauvais traitements et s'enferme dans son isolement. Il trouvera petit à petit une écoute auprès de monsieur Lepic, son père. Dossier comportant notamment des groupements de textes thématique et stylistique.

Paru en 1894, le récit de la vie d'un enfant au physique ingrat, affublé d'un sobriquet, sans nom ni illusion. Mal aimé par sa mère, rabroué par son frère et sa soeur, il s'habitue aux mauvais traitements et s'enferme dans son isolement. Il trouvera petit à petit une écoute auprès de monsieur Lepic, son père.

Un florilège de mots d'esprit d'un maître de l'ironie. ©Electre 2015

Paru en 1894, le récit de la vie d'un enfant au physique ingrat, affublé d'un sobriquet, sans nom ni illusion. Repoussé par sa mère, rabroué par son frère et sa soeur, il s'habitue aux mauvais traitements et s'enferme dans son isolement. Il trouvera petit à petit une écoute auprès de monsieur Lepic, son père.

Bestiaire proposant plus de soixante portraits poétiques, ironiques et humoristiques d'animaux.

Paru en 1894, le récit de la vie d'un enfant au physique ingrat, affublé d'un sobriquet, sans nom ni illusion. Mal aimé par sa mère, rabroué par son frère et sa soeur, il s'habitue aux mauvais traitements et s'enferme dans son isolement. Il trouvera petit à petit une écoute auprès de monsieur Lepic, son père.

Paru en 1894, le récit de la vie d'un enfant au physique ingrat, affublé d'un sobriquet, sans nom ni illusion. Mal-aimé par sa mère, rabroué par son frère et sa soeur, il s'habitue aux mauvais traitements et s'enferme dans son isolement. Il trouvera petit à petit une écoute auprès de M. Lepic, son père. Des pistes de lecture pour faciliter la compréhension de l'oeuvre.