Catalogue commenté de l'exposition consacrée aux tableaux et dessins issus de collections privées d'Edvard Munch (1863-1944), peintre norvégien. Ses oeuvres sont regroupées en 5 parties : l'impressionnisme, le naturalisme et le symbolisme ; Munch et le graphisme, Munch et la modernité ; Munch, la photographie et la cinétique ; vers la dissolution du sujet.

Un panorama en France de ce courant artistique moderne inspiré par la nature, l'érotisme, etc., à travers des objets d'art, du mobilier, des affiches ou des lithographies.

Présentation de tableaux, dessins et gravures du XVIIe siècle hollandais appartenant au Rijksmuseum d'Amsterdam et présentés lors de l'exposition se tenant à la Pinacothèque de Paris d'octobre 2009 à février 2010.

Georges Rouault (1871-1958) est un artiste aux multiples facettes, à la fois virtuose de la couleur et portraitiste de l'âme. A travers une sélection d'oeuvres majeures reproduites et analysées, le peintre est abordé dans une dimension littéraire, poétique et philosophique. Ses rencontres et les relations qu'il entretenait avec Matisse, Moreau ou encore Vollard sont évoquées.

Présentation de 130 oeuvres du XVIIe siècle hollandais appartenant au Rijksmuseum d'Amsterdam : une soixantaine de tableaux, une trentaine de dessins et d'aquarelles, une dizaine de gravures et une dizaine d'objets : tapisseries, faïences, miniatures en bois, argenterie, etc.

Un regard neuf sur l'Empire des Incas, ses origines et sa mystérieuse relation avec l'or à travers la présentation d'objets et d'oeuvres venant des musées européens et péruviens.

Constituées à partir de la fin du XVIIe siècle, les collections impériales russes comptent rapidement parmi les plus importantes d'Europe. L'ouvrage rassemble une sélection des chefs-d'oeuvre acquis par Pierre le Grand, Catherine II, Alexandre Ier et Nicolas Ier.

Dernière reine d'Egypte, Cléopâtre VII Thea Philopator a eu une vie exceptionnelle, devenue légendaire. L'exposition présente des oeuvres de la période ptolémaïque et illustre la naissance du mythe dans la Rome antique. Des tableaux, des sculptures, des costumes de film permettent de voir l'essor du mythe dans l'histoire des arts.

Présentation de 130 oeuvres appartenant au Rijksmuseum d'Amsterdam du XVIIe siècle hollandais : une soixantaine de tableaux, une trentaine de dessins et d'aquarelles, une dizaine de gravures et une dizaine d'objets (tapisseries, faïences, miniatures en bois, argenterie, etc.).

Ce catalogue reprend le parcours de l'exposition consacrée aux masques en mosaïque de jade, représentant les visages de la divinité et restaurés par des spécialistes en archéologie maya.

Dès le XVIIe siècle, le grand palatin Paul (1635-1713) et Nicolas Ier le Magnifique (1714-1790), constituent une collection d'art comme témoignage de leur magnificence. Elle atteint son apogée avec Nicolas II (1765-1833) et compte 1156 tableaux à la mort de celui-ci. Cette collection est présentée selon les différentes écoles et accompagnée d'un essai de O. Radvanyi qui en retrace l'histoire.

Cette exposition montre en quoi deux mouvements sont à l'origine de la diversité de l'expressionnisme allemand : l'un, Blaue Reiter ou Cavalier bleu, était purement intellectuel, avec philosophes et penseurs ; l'autre, Brücke ou Pont, privilégiait une création sensible, senstive et émotionnelle. Une telle divergence entre les uns et les autres n'empêcha pas de fructueux et constants échanges.

Cet ouvrage retrace les transitions esthétiques majeures du mouvement graffiti, cet art de la bombe sur toile développé dès les années 1970, ainsi que les oeuvres emblématiques et représentatives de ce courant artistique. ©Electre 2015

A la fin du XVIe siècle, la famille Brueghel occupe une place centrale dans la vie artistique anversoise et flamande. L'ouvrage présente les oeuvres de Peter Brueghel l'Ancien et de ses descendants, des peintres spécialisés dans la réalisation de copies à la manière de leur aïeul. Ils pérennisent ainsi le style Brueghel, tout en le renouvelant, jusqu'à la fin du XVIIe siècle.