D'origine slovène, Lilia a épousé un Français et vit en France depuis son mariage. Elle s'épanouit dans son couple et dans sa vie professionnelle, jusqu'au jour où elle apprend que son père, mort en Slovénie, lui a légué une petite maison dans son village natal, au bord d'un lac de montagne. Elle s'engage alors dans une aventureuse quête d'elle-même.

Dix nouvelles suggérant autant de définitions de l'amour. Susanna est morte depuis un an lorsque Claude, son mari, découvre qu'elle avait un jardin qui continue d'être entretenu ; Alma Larsen et Rudi Thomas reviennent d'une rencontre littéraire à Montreuil lorsqu'ils croisent la route d'une jeune femme ; le producteur de télévision Paul Roux Bellegarde croise le regard d'une caissière, etc.(Electre)

A la mort de sa mère, B. Svit, Slovène exilée à Paris, se lance dans une quête d'identité qui la conduit à Buenos Aires. A la Villa Eslovana, enclave fondée par des compatriotes émigrés en Argentine après la Seconde Guerre mondiale, elle interroge et photographie quelques-uns de leurs descendants les plus singuliers. Ces hommes et femmes vivent entre eux, maintenant à tout prix leur "slovénité".

Coco Dias, danseur professionnel et professeur de tango, a accepté de donner des cours à l'auteure en échange de la rédaction de sa biographie. Vont ainsi se croiser dans ce roman les souvenirs du danseur né à Buenos Aires et les sensations physiques de l'élève.

Lisbeth Sorel est cadre supérieur pour une grande compagnie aérienne. A Buenos Aires, elle rencontre Eduardo Ros, danseur de tango et gigolo. Leur rencontre les amène à se dévoiler et à remettre en question leur vision de la vie. (Electre)

Elle sonne à la porte de sa sœur, attend longuement qu'on lui ouvre. Nastia, la cinquantaine bien entamée, « la Parisienne » comme l'appelle sa sœur, est de retour à Ljubljana. Si elle est là, c'est pour des raisons sentimentales : elle ne peut pas rester dans la même ville que celui qui vient de la quitter brusquement, du jour au lendemain. La voilà donc dans Ljubljana, en pleine pandémie, alors qu'un puissant mouvement de protestation anime les rues de la capitale slovène. Au bout de quelques jours, elle trouve un appartement à louer, trop grand pour elle, mais peu importe. C'est l'arrivée de Tobias, installé dans la chambre à côté de la sienne, qui va tout changer. Ce jeune journaliste belge est venu faire un long reportage sur la contestation citoyenne, dont il admire la force et la créativité. Quelque chose naît entre eux : un dialogue, une attention à l'autre, le sentiment d'une vraie rencontre. À ses côtés, Nastia découvre une Ljubljana bien différente de celle, socialiste et yougoslave, de son enfance et de sa jeunesse, et pose un autre regard sur le mouvement de protestation, sur la façon de se révolter aujourd'hui. Car c'est de cela que parle ce roman : de la révolte intime et collective.