Une tempête. La grande tempête du 27 décembre 1999. Les solitudes des forêts et des landes du plateau de Millevaches ravagées. Une femme, un homme qui n'auraient jamais dû se rencontrer. Quatre jours côte à côte, face à face, presque sans un mot. (4e de couv.)

Dans un collège huppé, William-Erik Saunders fait la connaissance d'un aristocrate, Ellis Ferguson. Entre eux se développe une sourde inimitié. William-Erik s'engage dans la Compagnie des Indes et, aux confins de la Chine, il retrouve Ellis. Une belle métisse se dresse entre eux...

A la fin du siècle dernier, Georges Porquel hérite de la tannerie familiale. Honorine, la soeur aînée va orienter sa vie afin de protéger le patrimoine de leurs ancêtres, parfois même au détriment du bonheur de ce frère qu'elle adore.

Autour de deux figures de femmes, J. Montupet brosse une saga d'une famille de grands cuisiniers. Très documenté roman de détente de lecture agréable.

Ce roman est l'histoire d'un amour immense d'un petit garçon pour sa mère. Une mère simple, douce et muette. Il mène une recherche perpétuelle afin de connaître le nom de son père pour le ramener à sa mère, pour qu'elle soit enfin heureuse.

Allemande, enfant dans les années 30, Laura C. fuit son pays juste avant la guerre, avec sa mère et l'amant juif de celle-ci. En France, ils la font passer pour juive. Survient l'Occupation et l'adolescente se débat entre ses deux origines, alsacienne et juive. Profondément traumatisée, Laura mettra des années à reconstruire sa personnalité. J. Duquesne, entré par legs en possession des écrits de la vraie Laura, a voulu raconter cette histoire d'enfant blessée devenue femme désespérée.

Une mère déséquilibrée par la mort de son enfant, une maison hantée, une riche héritière disparue en mer, peut-être assassinée par son mari et le souvenir des premiers émigrants de la côte Est des Etats-Unis, tels sont les ingrédients de ce roman. Suspense bien mené où le frisson est assuré.

1999. L'Europe, enfin unifiée politiquement et économiquement, est gouvernée par Antonia, dame de fer au regard d'acier. Un ancien héros de série télévisée va la faire fondre et lui révéler qu'elle a un coeur et qu'elle est belle. Cet amour secret va néanmoins mettre l'Europe au bord du drame. Une satire drolatique de notre époque.

L'auteur situe son roman dans la vie d'aujourd'hui : restructuration, licenciements, chômage. Urbain fuit abandonnant sa famille face aux difficultés. Mais la réalité le rattrape. Son fils peut succomber aux pires tentations. Il devra réagir pour le sauver de la drogue et de la mort.

Avoir trente ans, quelques kilogrammes de trop, être célibataire quand les autres sont mariés ne facilite pas la vie. Pendant un an, Bridget Jones, c'est d'elle qu'il s'agit, tient son journal. On a les compagnons qu'on peut ! Elle livre les extravagances d'une amie adepte des théories new age aussi inopérantes que les déclarations rageuses d'une autre amie féministe combattante. Il n'est guère que Tom qui lui montre de l'affection, mais il aime les hommes. Certes, elle travaille dans une maison d'édition et son patron lui envoie des messages suggestifs mais elle comprend vite qu'il est comme les autres, il cause, il écrit et il fuit. Elle ignore que les hommes de surcroît n'ont pas toujours la vie facile et que des femmes leur en font voir des vertes et des pas mûres. Finalement, un avocat divorcé, à nouveau dupé, s'avérera un homme non seulement séduisant mais aimable et... aimé. (Le Grand Livre du Mois)

Octobre 1939, dans une petite ville de la Sarthe. Lucie Garnier, une jeune femme d'une trentaine d'années, prend la direction de l'école publique à la place de son mari qui vient d'être mobilisé. Sans être une héroïne, elle fera face aux situations les plus imprévisibles : l'arrivée d'enfants juifs, l'exode et l'occupation. (Livres Hebdo)

Belle-grand-mère narre la vie et les aventures de Babou et de son mari qui ont enfin trouvé la maison de leur rêve, celle qui accueille chaleureusement toute la descendance, les petits malheurs et les grandes joies. Un roman agréable et résolument optimiste qui raconte les nouvelles grands-mères.

1897 - Ana Oïzerman a vingt ans lorsqu'elle rencontre pour la première fois Lucien Dupuis. Convaincus d'être les deux moitiés d'une seule et même âme, les jeunes gens se marient en dépit de leurs différences sociales et religieuses : Ana est la fille d'un violoniste juif mondialement connu ; Lucien, le fils d'un riche négociant en vin bordelais, catholique. Commence alors, pour le couple éperdument amoureux, une existence insouciante et fastueuse dans le tourbillon du Tout-Paris littéraire et artistique du moment. Mais ce bonheur, pimenté d'une troublante connivence érotique, est brutalement remis en question. (4e de couverture)

D'origine allemande, Günther Hagen, jeune ingénieur dans un laboratoire de recherches pharmaceutiques disparaît mystérieusement après avoir recommandé à sa soeur Erica de s'enfuir. D'autres personnes vont également quitter la scène dans des conditions dramatiques sans qu'on en connaisse les raisons... (4e de couv.)

La terre bourguignonne est si belle et si riche qu'elle attise les passions et nourrit la convoitise. Malgré les liens qui les unissent et l'amour de la vigne et du travail bien fait transmis par leur père, Timothée et Alexandre sont deux frères rivaux depuis l'enfance. Car, au coeur des coteaux du Beaujolais, entre Villefranche-sur-Saône et Lyon, les vignobles que l'on peut acquérir sont rares. Et lorsque le vieux Germain, un propriétaire qui a toujours refusé de céder ses vignes, meurt, le conflit éclate entre les deux frères. Cette disparition suspecte éveille la méfiance de la femme d'Alexandre à l'égard de ce mari qu'elle n'a jamais aimé, l'incitant à dévoiler à Timothée des sentiments qu'elle a longtemps tenus secrets... (4e de couverture)

A son retour d'Athènes, Alain Menestrol, lieutenant de vaisseau, a de gros ennnuis après s'être laissé embarqué dans des histoires d'espionnage. Il tente d'échapper à ses poursuivants tout en protégeant sa femme et son fils

Ce roman est l'histoire d'un amour impossible. Un homme, le roi Louis VII, s'y est brûlé. Il était mieux fait pour être moine que roi. Elle, Aliénor d'Aquitaine, était bien faite pour être reine : belle, intelligente, hardie, c'était une flamme. Elle ne rêvait que fêtes, lui seulement travail et prière. Cependant, il l'aimait. Pour complaire à sa reine, il se lança dans d'incertaines campagnes. Devant Vitry-en-Perthois, en Champagne, qu'il assiégeait, il acquiesça à la destruction totale de la ville : quinze cents personnes furent brûlées vives dans l'église. C'était en 1142. Ce crime, ce roi très chrétien ne se le pardonna jamais. (4e de couverture)