En 1630, deux adolescents limousins s'élancent en direction des Pyrénées. L'Espiègle part, avec quelques hardes et son chat Grison, conquérir Séville la mythique que lui a vantée un vieil immigré andalou. Anthoine fuit son village en compagnie de son chien l'Ebouriffé. Ils se rencontrent sur la route de Montauban et poursuivent leur errance au milieu de tous les dangers.

L'Ecole de Brive réunie au grand complet. J'ai nommé : Gilbert Bordes, Colette Laussac, Claude Michelet, Martine Marie Muller, Michel Peyramaure, Jean-Guy Soumy, Denis Tillinac et Yves Viollier. Les huit amis nous livrent, dans "Rentrées des classes", leurs souvenirs de rentrée, les uns en tant qu'élèves (cancre ou premier de classe), les autres comme professeurs. Une rentrée inattendue, joyeuse, fervente ou nostalgique. (Bibliotéca magazine)

Gilbert qui vient d'être démobilisé, revient d'Algérie à Toulouse. Mais il va réapprendre à vivre en remettant à neuf une maison abandonnée dans le Lot. (Livres Hebdo)

Deux soeurs : Marie, quatre-vingt-un ans ; Aminthe, soixante-dix-neuf ans. Deux vieilles demoiselles qui réussissent à vivre dans une entente fragile entre le chat, le carillon et le piano de leur grande maison de famille. Mais voici leur paix menacée : pour cause de rénovation du quartier, leur maison doit être détruite. Elles refusent, elles se révoltent... (4e de couverture)

La ferme de Barcus et de Bella, sur le revers pyrénéen, n'est qu'une masure, mais elle possède une magnifique porte sculptée, héritage du grand-père et qui fait l'orgueil de Barcus. Un soir, une petite caravane se présente : un guide, un homme d'âge, une jeune fille : Noémie. Enfant gâtée, capricieuse, Noémie s'éprend de la porte. Elle propose à Barcus vingt fois le revenu d'une année de travail s'il lui cède la porte : une somme fabuleuse qui fera du pauvre fermier un grand propriétaire au village. Barcus accepte. Il devra transporter la porte jusqu'à Saint-Jean-Pied-de-Port pour le proche mariage de Noémie. (Bilbiotéca Magazine)

A un moment dramatique de l'Histoire de France, après Waterloo, quand les émigrés, de retour d'exil, font régner la Terreur blanche sur le pays et que, face à eux, se dressent dans l'ombre les carbonari républicains... Gabriel Beaupérus, lieutenant dans la cavalerie impériale, rentre de cinq ans de captivité en Angleterre. Dépossédé par la famille d'Orgedeuil du château acquis par son père sous la Révolution, il jure de se venger. Mais quand il rencontre Irène d'Orgedeuil, il est subjugué par la beauté et la passion de son ennemie... (Bibliotéca Magazine)

«À quoi pense-t-on quand on ne pense à rien ?» se demandait Jean Paulhan. Ce livre de Dino Buzzati répond pour sa part à la question : «Qu'écrit un écrivain quand il n'écrit pas ?» Il en ressort qu'un écrivain jette sur les pages de ses carnets tous ces fragments de vie qui, plus tard, serviront de terreau à ses romans ou à ses essais. Chez Buzzati, on le devine, le noir va dominer. Les notes, les réflexions, les histoires brèves consignées ici portent sur ce qui trouble, ce qui inquiète, et peuvent même aller jusqu'au monstrueux, en tout cas l'inavouable. Avec ces carnets, très personnels à défaut d'être tout à fait intimes, où se côtoient le burlesque et le tragique, l'auteur du Désert des Tartares offre une grande leçon de littérature.

Le combat d'un prêtre exorciste pour libérer une adolescente des forces diaboliques qui l'habitent. ©Electre 2017

En Corrèze en 1903, dans un petit bourg, le maire en campagne pour sa réélection sème la panique parmi ses administrés lorsqu'il déclare qu'il va faire briller le soleil à minuit. Ses projets d'installation d'un barrage et d'une usine pour produire de l'électricité ne sont pas du goût de tout le monde. L'ancien maire, le marchand de chandelles et ceux qui ont des secrets à cacher se révoltent. (Livres Hebdo)

Une édition collector d'un titre culte, parmi les plus grands best-sellers de la littérature, L'Exorciste, avec une préface inédite de Bret Easton Ellis. C'est en s'inspirant d'un fait divers survenu dans le Maryland en 1949 que William Peter Blatty s'est lancé dans l'écriture de ce qui allait être l'un des plus grands succès de librairie de la seconde moitié du XXe siècle : depuis sa parution en 1971, L'Exorciste s'est vendu à plus de treize millions d'exemplaires dans les seuls États- Unis et a été traduit dans le monde entier. Succès encore amplifié par son adaptation au cinéma par William Friedkin deux ans plus tard et qui deviendra l'un des plus célèbres films d'horreur. De quoi s'agissait-il ? Du comportement très étrange d'une gamine de douze ans, Regan, fille d'une actrice célèbre. Des bruits mystérieux, des meubles qui se déplacent dans la nuit... Autant de phénomènes de plus en plus effrayants devant lesquels les médecins restent impuissants. Lorsque la situation empire (on retrouve sous la fenêtre de la jeune fille le cadavre du meilleur ami de sa mère), il ne reste plus qu'à tenter l'exorcisme. À partir de cette trame, William Peter Blatty a bâti dans un style unique l'un des récits d'épouvante les plus célèbres de la littérature. On en jugera en le lisant portes et fenêtres hermétiquement closes ! " Blatty sait raconter une histoire et c'est exactement ce qu'est L'Exorciste : une histoire bien racontée. Il aurait très bien pu être un catholique en dévotion, espérant avoir écrit un roman qui pousserait les gens à comprendre de façon positive l'existence de Dieu, ce qu'il allait finir par appeler un "travail apostolique', mais je pense qu'il a accompli une chose beaucoup plus rare encore : il a écrit tout simplement un roman très lisible qu'il est presque impossible de lâcher une fois qu'on l'a commencé. De nombreux écrivains ne savent pas comment s'y prendre pour faire ça. " Bret Easton Ellis

Un jeune garçon de treize ans est placé chez les Péréna, les grands propriétaires de Saint-Martin (en fait Branceilles, le village d'origine de l'auteur). De sa position, il observe : Monsieur et Madame et leurs deux fils, et les amours qui se nouent, et les drames et les deuils. Tout est dit et donné à sentir avec justesse et sensibilité. Chronique de la vie d'un village de Corrèze entre 1913 et 1919. (Bibliotéca magazine)

Andrée, une avocate de trente-trois ans, coule une vie heureuse avec son mari, un architecte réputé et leur fils, Luigi, treize ans. Jusqu'au jour où son mari est assassiné : tout son univers s'écroule. Elle doit se battre alors contre elle-même et pour son fils qui part à la dérive. Dix ans de doutes et de tourments se passeront avant qu'elle ne retrouve le fil de sa vie. (Livres Hebdo)

La communauté de la petite Eglise représente les derniers catholiques vendéens,très respectés, qui ont refusé le Concordat imposé par Napoléon en 1801. Alors que toute la famille Chaigne est prête pour la communion de François-Xavier, on cherche sa mère, Danièle, qui a soudain disparu. Sa soeur comprend alors qu'elle a voulu fuir la famille et la communauté pour retrouver sa liberté. (Livres Hebdo)

Dans les années 1875, la construction de la ligne de chemin de fer Paris-Toulouse, lorsqu'elle parvient dans le Limousin, bouleverse de fond en comble la vie d'une famille de grands propriétaires terriens, les Serilhac... (Bibliotéca Magazine)