Le roman de l'enfance. Les premières années d'un petit garçon du Nord de la France, au lendemain de la 1ère guerre. Cet hymne à l'enfance...est aussi un hymne à la dignité et à la richesse humaine de ces moderstes familles de mineurs

Rédacteur en chef de l'Humanité pendant dix ans et membre du comité central, A. Stil se confie ici sur son engagement politique et sur son éthique d'écrivain. Il dresse des portraits de Picasso, de De Gaulle, de Thorez et d'Aragon, et évoque le surréalisme et la Résistance.

Belesta est le nom d'un domaine en pays de Roussillon, près de Millas, le long de la Têt, et c'est aussi, si l'on peut dire, le personnage principal du roman. Sur un demi-siècle, de 1950 à nos jours et à trvers deux générations d'hommes et de femmes, André Stil évoque la belle propriété entourée de vignes et qui produit du vin. Le pays est magnifique, les hommes sont les hommes, plutôt bons et généreux mais la tragédie est inhérente à la condition humaine et le paradis de Belesta finira mal, dans les ruines que provoque un incendie... Le jeune couple qui l'occupe saura-t-il le reconstruire ? (Bibliotéca Magazine)

A quarante ans, Denis peut s'estimer satisfait. Il n'a jamais pratiqué d'autre métier que celui dont il rêvait : semer des graines de fleurs, multiplier les fleurs, en créer, en inventer. Hérité de son père, un vigneron, voici le terrain où il a réalisé une des plus belles pépinières du Roussillon, qui essaime toute la région. Jusqu'en 1996 où Denis, tout à coup, prend conscience du temps qui passe et se pose les questions essentielles : A-t-il fait tout ce qu'il devait faire ? Après lui, qui continuera et perfectionnera son oeuvre ? C'est, soudain, comme si le monde des fleurs perdait de son velours, de son éclat. (Bibliotéca magazine)