Marie-Claire Une enfance de bergère orpheline, en Sologne, au début de la III République? Le petit peuple prend la parole, servi par la sincérité, la simplicité de l?auteur. Une émotion inoubliable. L?Atelier de Marie-Claire En 1920, dix ans après le triomphe de Marie-Claire, Marguerite Audoux donnait une suite à son roman. L?Atelier de Marie-Claire dépeint la vie quotidienne de la bergère solognote, devenue adolescente et montée à Paris pour apprendre le métier de couturière. La solitude, la misère, le mal y sont évoqués avec la même bouleversante économie de moyens que dans Marie-Claire. Marguerite Audoux prend, ici, la parole au nom du prolétariat des villes, après l?avoir prise au nom de celui des campagnes. La guerre de 1914-1918 ayant changé les mentalités et la mode s?étant détournée de l?auteur, ce deuxième roman n?obtint pas le succès du premier. On sait, aujourd?hui, que l?Atelier de Marie-Claire est un chef-d??uvre au même titre que Marie-Claire, et qu?il en est indissociable.

La terre bourguignonne est si belle et si riche qu'elle attise les passions et nourrit la convoitise. Malgré les liens qui les unissent et l'amour de la vigne et du travail bien fait transmis par leur père, Timothée et Alexandre sont deux frères rivaux depuis l'enfance. Car, au coeur des coteaux du Beaujolais, entre Villefranche-sur-Saône et Lyon, les vignobles que l'on peut acquérir sont rares. Et lorsque le vieux Germain, un propriétaire qui a toujours refusé de céder ses vignes, meurt, le conflit éclate entre les deux frères. Cette disparition suspecte éveille la méfiance de la femme d'Alexandre à l'égard de ce mari qu'elle n'a jamais aimé, l'incitant à dévoiler à Timothée des sentiments qu'elle a longtemps tenus secrets... (4e de couverture)

Dans un village dépeuplé d'Auvergne, Chaumont-sur-Dorette, la quiétude de la douzaine d'habitants est troublée par l'arrivée massive de gens de toutes sortes. (Livres Hebdo)

"La petite Italie" est la nouvelle qui donne son titre au recueil, nouvelle qui évoque la vie d'immigrés italiens dans la banlieue d'une ville française. Avec ce premier texte, le lecteur entre aussitôt dans le monde, assurément unique, de Beatrix Beck : drôlerie, cruauté, personnages insolites, juxtaposition de la langue parlée et de la langue élaborée, aventures singulières mais aussi la vie dans sa banalité. (Bibliotéca Magazine)

Au XIXe siècle, au sein des volcans d'Auvergne, Sylvain aide son père, tailleur de lave, à soulever les pierres grâce à un mécanisme, la tournette, sorte de cage à écureuil. Mais une allergie à la poudre de lave l'oblige à s'orienter vers une autre profession. Il devient donc médecin et s'installe à Combrailles où il doit faire face à la concurrence des guérisseurs et rebouteux. (Livres Hebdo)