De l'album Comment je suis devenu voyageur, sorti en mars 2011, est né un imposant spectacle que les Ogres auront présenté plus de 80 fois. De par la ferveur qu'elle a suscitée, cette tournée restera comme une étape importante dans leur carrière. C'est pourquoi les Ogres ont tenu à graver sur disque cette magnifique alchimie qui aura démontré, une nouvelle fois, qu'il n'est de meilleur moyen pour rencontrer le public et l'embarquer avec soi que de le respecter profondément. Comme toujours généreux, ce disque s'articule en partie autour des chansons du précédent album, réarrangées pour le live. Mais accueille également certains classiques que le groupe ne jouait plus depuis des années, d'autres titres anciens dynamités à l'énergie scénique et des bootlegs qui auront surpris et séduit le public par leur aspect novateur.

Entouré de Franck Monbaylet à la direction musicale, Mokhtar Samba à la batterie, Rhani Krija aux percussions et Dorsaf Hamdani aux choeurs pour ne citer qu'eux, Yves Duteil signe un vibrant plaidoyer pour le vivre-ensemble, dont il dit lui-même que "l'actualité tragique aura agi comme un accélérateur, un leitmotiv poéticosocial." (Electre)

Nostalgique, visionnaire et psychédélique, sa musique est nourrie d'images synthétisées par la navigation complexe de ses setups autodidactes. Ce premier album est un voyage à plusieurs temps, jonché de fragments d'une narration faite de reflets, un jeu d'énigmes, un labyrinthe sonique, avec un monstre final. C'est dire la place qu'ont les histoires dans la musique de Flavien. (Electre)

Pour ce septième disque il a choisi d'enregistrer seul dans une maison isolée à la montagne. Promeneur est une rêverie. Il nous balade dans des paysages variés, traverse des jardins, emprunte les chemins sinueux des sentiments, des souvenirs. (Electre)

Quatre ans après Les chansons de l'innocence retrouvée, vendu à plus de 150 000 exemplaires, ce Diskönoir entêtant qui donnera lieu à la tournée de toutes les extases, Etienne Daho était prêt pour une nouvelle aventure. Celle-ci prend corps sous le nom de Blitz, un album que le chanteur a voulu comme un défi, un bras d'honneur à la torpeur ambiante, nous enjoignant à rester "léger face au danger", lui qui ces dernières années est ressorti plus fort de bien des batailles et n'a jamais perdu sa légèreté de vivant, ni sa prodigieuse inspiration. En témoigne l'un des disques les plus aventureux de ses (presque) quarante années de funambulisme pop, à la fois fresque psychédélique de haut vol et recueil de ballades planantes qui ajoutent quelques chapitres (Les flocons de l'été, L'étincelle) à cette déclinaison de l'élégance française dont Daho est l'incontesté souverain. (Electre)

Les plus grands tubes de Michel Delpech sont repris ici par des artistes-amis, Alain Chamfort, Didier Barbelivien. ou admirateurs de toute génération, Calogero, Patrick Bruel, Marc Lavoine, Pascal Obispo, Louane, Slimane, Vianney. De la même façon, le travail artistique, sous la direction de Dominique Blanc Francard, a pour ambition de donner un regard inédit sur le répertoire, tout en respectant les ouvres originales. (Electre)

Cet opus propose ses grands titres revisités en jazz manouche. Trois titres inédits complètent cet album.

A l'aube de ses 10 ans de carrière il revient avec un album évènement, plus intense et introspectif, co-écrit avec Paul Ecole (Calogero, Oxmo Puccino... ). (Electre)

Chanteur aux multiples disques d'or, il sort enfin son sixième album. Il s'est entouré d'autres grands noms de la chanson de française tel que Benjamin Biolay. Vincent Delerm a réussi à travers cet album le pari d'ouvrir son univers musical tout en gardant une forte identité. (Electre)

Pour ce retour, De Palmas a voulu revenir aux fondamentaux. La majorité des textes ont été écrits avant les mélodies, et c'est la caractéristique la plus flagrante de l'album. Cette volonté de démarrer par les textes allait être son nouvel angle. D'attaque. Des vers forts, des couplets bruts, des refrains vivants, jetés comme du charbon sur la neige, dès l'aube. Dix chansons, écrites et composées par De Palmas, captées pour la plupart en studio dans les conditions du live. Les voix notamment. (Electre)

Onze ans après sa victoire à Nouvelle Star, il signe un album en adéquation totale avec ce qu'il est, ce qui lui tient à coeur et surtout ce qu'il pense. Dès l'écoute de son premier single Marlon Brando, Christophe sait donner le ton avec un titre fédérateur, solaire, dansant et foncièrement humain. Ce disque présente donc un nouveau Christophe Willem. Le changement se ressent par son côté lumineux, frais et vivant. Christophe propose des titres optimistes, même s'il n'hésite pas à mettre le doigt sur des sujets sensibles. (Electre)

Ce deuxième album est riche en collaborations avec les participations de Julien Doré, Vianney, Benjamin Biolay, Tim Dub ou encore Loic Nottet qui signent chacun des titres, ou bien encore le producteur Dany Synthé qui réalise notamment le premier single, On était beau. (Electre)

Cet album de duos, c'est la somme de multiples instants éphémères, empreints. Un jeu avec les vieux complices de toujours comme Patrick Bruel, la famille Chedid, Michel Jonasz, Bernard Lavilliers, Eddy Mitchell, Alain Souchon, Hubert-Félix Thiéfaine, Tryo ou avec la jeune génération comme Juliette Armanet, Jeanne Cherhal, Julien Doré, Tim Dup, Christophe Maé, Vianney, Zaz. Pas un combat singulier entre les anciens et les modernes, juste un miroir tendu à d'autres voix, d'autres tempéraments, le temps d'une chanson. Une relecture des titres de Véronique, pour donner à écouter sous un angle néoclassique, des chansons emblématiques de son répertoire comme Amoureuse ou moins connues comme C'est long c'est court. Et constater que la musique de Véronique est flexible, volatile, qu'elle se prête à toutes les alchimies, à d'autres interprétations... Chacun des artistes invités apporte sa griffe, tout est changé, et, finalement, rien n'est vraiment changé : l'âme Sanson est bien là, inaltérable, pimentée d'autres talents... (Electre)

La chanteuse belge présente son 13e album studio, écrit et composé par Lara, Moh Denebi (Suède) et Sharon Vaughn (USA). Cet opus de 12 chansons, toutes en anglais, écrit et enregistré entre Stockholm, Los Angeles et Bruxelles, a été produit par Moh Denebi, l'un des producteurs de musique les plus talentueux du nouveau son pop suédois. On y retrouve la signature vocale de Lara Fabian accompagnée d'une production électro-pop combinée à une orchestration classique, créant ainsi un son à la fois moderne et intemporel. (Electre)