Histoire du premier jardin colonial, devenu Jardin d'agronomie tropicale, et évocation des conquêtes agronomiques et coloniales françaises.

A des titres divers, des hommes et des femmes de lettres se rendirent en Allemagne entre 1933 et 1945, tels Samuel Beckett, Albert Camus, Georges Simenon, Denis de Rougemont, Virginia Woolf, Karen Blixen, Jean Genet, etc. Cette anthologie présente leurs témoignages de la vie des Allemands et des étrangers sous le nazisme.

Publié pour la première fois en 1949, cet essai mettait déjà en garde l'homme sur les effets dévastateurs de ses activités sur la nature. D'une actualité brûlante, cette édition est préfacée par l'un des spécialistes actuels de ces questions.

En mars 1940, Steinbeck entame une expédition à caractère scientifique dans le golfe de Californie, appelé également la mer de Cortez. Embarqué sur le Western Flyer avec ses compagnons et pour plusieurs semaines, il tient un journal de bord où il décrit son quotidien et ses observations.

Un récit d'apprentissage et de construction de soi, qui est d'abord et avant tout un hommage tendre et inconditionnel à l'Orient, ses paysages, ses cultures et ses religions mêlées, son hospitalité, sa générosité'

Présentation de l'oeuvre de ce fermier autodidacte de l'Arkansas. Il a photographié dans son studio rudimentaire toute la vie d'une communauté rurale. Il est considéré comme l'un des plus grands portraitistes américains. ©Electre 2021

Dès août 1914, la physicienne transporte jusqu'au front le matériel de radiologie nécessaire à la localisation des éclats d'obus, sauvant ainsi des milliers de vies. Sa fille Irène, 17 ans, l'accompagne dans les hôpitaux de guerre. Le récit révèle le bilan de son combat : 20 voitures radiologiques sur le front, plus de 200 postes fixes dans les hôpitaux, plus d'un million de soldats secourus, etc. Electre 2014

Ces trois textes écrits entre 1924 et 1937 mettent en scène le conflit entre colonisateur et colonisé et confrontent exotisme et banalité humaine. En même temps qu'il tient ses carnets de voyage, l'auteur poursuit sa réflexion sur la colonisation. ©Electre 2017

Révolutionnaire professionnel comme il se nomme, l'auteur fut un témoin lucide et engagé dans l'aventure du surréalisme et du communisme. Son livre est un document sur la période 1925-1945, sur l'histoire du surréalisme et une galerie de portraits : Aragon, Breton, Eluard, Crevel, Dali ...

De la première partie de ce siècle, Jean Hugo, arrière-petit-fils de Victor Hugo, n’a pas seulement connu les grands événements, comme les deux guerres mondiales, qu’il évoque ici avec une autorité remarquable. Il a connu aussi les créateurs auxquels son activité de peintre et de décorateur (au théâtre et au cinéma) le mêla. De Cocteau, Radiguet, Picasso, Auric, Satie, Cendrars, Dullin, Jouvet, Colette, Proust, Maritain, Max Jacob, Dreyer, Marie Bell et de bien d’autres, il trace ici des portraits où la finesse de la plume rejoint l’acuité du regard. On trouvera la suite des Mémoires de Jean Hugo dans le second volume intitulé : Carnets (1946-1984).

Prend en compte, analyse et expose l'intégralité du système médical nazi, de la recherche médicale et militaire jusqu'à l'exploitation industrielle par des groupes pharmaceutiques ou chimiques. L'auteur, qui a travaillé avec minutie et méthode, propose un document enrichi de photographies, d'un important appareil de notes ainsi que de nombreux témoignages.

Cet ouvrage offre un aperçu visuel nouveau et unique de la production de natures mortes en Belgique entre 1830 et 1930, avec l'éminent peintre belge James Ensor comme protagoniste.

Ilona a neuf ans en 1939 et vit heureuse dans la banlieue de Varsovie, au sein d'une famille juive attentive. La guerre surgit dans son existence, déchire sa famille et oblige ses parents à fuir avec leur enfant jusqu'en Ouzbékistan. La vie de réfugié sera une dure école : apprentissage successif de quatre langues pour être scolarisée ; précarité des logements et des moyens de subsistance...Ilona ne comprend rien à cette guerre qui lui semble très éloignée de ses préoccupations enfantines. Le retour en Pologne, après l'armistice, lui révélera des horreurs insoupçonnées. L'intérêt de ce témoignage réside dans la personnalité même de l'auteur et dans son appréhension de cette période de l'Histoire. Réfléchie, elle observe et analyse ; douée, elle se cultive ; courageuse et digne, elle surmonte les pires difficultés comme les crises de malaria, la peur, la faim, sans oublier les souffrances morales, le racisme... Avec des mots justes et simples, dans un souci de vérité, elle raconte " une époque importante de sa vie...difficile mais si enrichissante ". A partir de 12-13 ans. [J] (FR)