Description de l'histoire physique et humaine de l'Aral depuis ses origines, des conséquences catastrophiques de son assèchement, tant du point de vue de la biomasse que de la santé des riverains et que de l'économie de la région. Présentation des tentatives actuelles de restauration de l'Aral.

Après un rappel des grandes étapes de l'histoire mouvementée de la politique agricole commune européenne, l'auteur analyse les grands défis que celle-ci va devoir relever dans l'avenir : sécurité alimentaire, changement climatique, biodiversité, etc.

Cet ouvrage n'est pas une monographie de plus sur la biodiversité, mais à la fois un travail d'historien, de géographe et de naturaliste. L'hypothèse biochimique a été choisie, plaçant l'apparition des premiers êtres vivants il y a près de 4 milliards d'années, et seule la thèse évolutionniste a été retenue. A l'évidence des espèces ont disparu depuis 1500, d'autres seront menacées d'ici 2100. L'accélératon du processus évoque l'imminence d'une extinction massive.

Avec bientôt 9 milliards d'habitants, il est utopique d'espérer laisser à nos enfants la Terre de nos ancêtres. Pour la maintenir habitable, changer de cap ne suffira pas, il nous faut "changer de bord" : il est nécessaire de payer le juste prix, celui qui inclut le travail honnêtement rémunéré des hommes et les dégradations de l'environnement. A ce prix, la survie de l'humanité sera assurée.

Face à la mise en danger de la biodiversité, l'auteur propose une alternative spirituelle. Se fondant sur le concile Vatican II, il rappelle que l'Eglise, loin de remettre en cause le modèle occidental de développement technique, dénonce "le risque d'une valorisation du progrès pour lui-même". Une réflexion présentant notamment la pensée de Pierre Teilhard de Chardin.

L'homme a besoin de connaître sa nature et sa position parmi les êtres vivants et d'évaluer les transformations de son environnement. Sauf exception, l'homme ignore jusqu'où il est allé trop loin. Il passe outre les lois qui régissent la nature dont il fait partie. L'ouvrage ouvre aussi sur l'origine et l'évolution de la Terre, de la vie et de l'homme, sur la sexualité et la génétique des organismes, sur les questions liées à la procréation et les questions éthiques ainsi que sur le mode de vie humain. Il est question des nouvelles technologies, des problèmes que pose l'activité humaine en matière d'écologie, des moyens de protection de l'environnement, et de la survie de l'homme.

Après une description des découvertes des principaux phénomènes climatiques du début de l'histoire jusqu'au 18e siècle, les méthodes d'études du climat et la variabilité des climats sont étudiées. Un chapitre est consacré également à l'influence du climat sur les hommes et à la prévision du climat.

Economiste, l'auteur suit à la trace les déchets et leurs producteurs, pour les repérer et les appréhender dans une optique panoramique, des origines de l'homme à des futurs possibles.

Quatrième famille par son nombre d'espèces, la famille desgraminées, ou Poaceae, n'en est pas moins nettement dominantetant sur les plans écologique et environnemental que nutritionnelet économique : elle rassemble, en effet, toutes les céréales, dont le blé, l'orge, le riz, le maïs, le mil africain, la plupart des plantes de pâturage spontanées et cultivées, la canne à sucre, les bambous,les herbes à gazon. Les graminées prédominent aussi dans les steppes, les savanes, les pelouses spontanées de plaines et de montagnes, en contribuant à marquer les paysages de façon majeure sur tous les continents. La famille des Poaceae compte aussi les adventices les plus néfastes aux cultures. Différents secteurs manufacturiers impliquent les graminées : sparterie à alfa, bambous dans diverses constructions, dont maisons et ponts. L'esthétique graminéenne n'est pas oubliée, de même que la cuisine à base de céréales. La famille des graminées rassemble l'essentiel des plantes,dont l'absence rendrait notre planète difficilement habitable.

L'ère du génie génétique s'est ouverte dans les années 1970, et les scientifiques ont eux-mêmes exprimé les premières questions en matière de risques pour la santé humaine et l'environnement. La conférence d'Asilomar a marqué tout à la fois leur volonté d'information de l'opinion et d'autorégulation dans la conduite de leurs expériences. Mais une décennie plus tard, ils ont été surpris face aux réactions d'inquiétude, voire d'hostilité, à l'égard de ces biotechnologies appliquées à l'agriculture.Cet ouvrage présente une narration de l'émergence et du déroulement des controverses générées par le développement des biotechnologies végétales. Il tente de dégager les similitudes et les différences, entre les pays, quant aux perceptions et aux préoccupations des citoyens et des consommateurs.Enfin, la question est posée de l'objet réel des controverses qui porterait sur une perception différente des rapports de l'homme avec la nature et non sur les risques induits par la technologie.