Mystérieux, exotique, inaccessible à l'époque du cinéma muet, l'homme-objet devient le parangon de la virilité à l'âge d'or hollywoodien. Les vieux modèles sont aujourd'hui contestés (le minet glabre, la petite frappe aux yeux fiévreux, le cowboy). Narcissique et entretenu, l'homme-objet postmoderne incarne la synthèse de ce qui l'a précédé : il est désormais fort et sensible.

Un panorama des films maudits de l'histoire du cinéma, ces films dont le tournage a été entravé par une série de catastrophes ou par des conflits entre le réalisateur et le producteur. Certains son tombés dans l'oubli, d'autres ont joui de leur malédiction pour devenir emblématiques, comme Les rapaces d'E. von Stroheim ou Apocalypse now de F.F. Coppola ou Lost in the Mancha de T. Gillian.

En retraçant la généalogie de la pin-up depuis les slapstick girls des années folles à Sheri Moon Zombie en passant par Jayne Mansfield, Marilyn Monroe, Ursula Andress et bien d'autres, l'ouvrage montre l'évolution de la symbolique de cette figure : de la femme-objet domestiquée, la pin-up est devenue une incarnation du girl power, le prototype même de la femme indépendante.

Cet ouvrage suit l'histoire du péplum depuis les origines du cinéma jusqu'aux productions les plus récentes. Le péplum, l'un des genres les plus anciens au cinéma, a connu des périodes fastes, des modes et des modifications thématiques et esthétiques considérables.

A travers un corpus de films emblématiques, cet ouvrage analyse les liens esthétiques, économiques, etc., établis depuis plus de quarante ans entre le cinéma, essentiellement hollywoodien, et les jeux vidéo, et s'interroge sur la mise en place de politiques éditoriales transmédias.

Un parcours ludique à travers la galerie des monstres du cinéma fantastique.

Une réflexion sur la fascination qu'exercent les personnages de pervers au cinéma. Avec une galerie des grandes figures de la perversité au cinéma : sadiques et masochistes, fétichistes et érotomanes, tueurs en série, femmes perverses et pervers narcissiques...

L'amour transforme les êtres, l'amour fou les transforme follement : il les pousse aux extrêmes de l'incandescence, du sacrifice, de la jalousie, de la souffrance, de l'exil, à leur point de rupture avec la fadeur de la vie ordinaire. Thème littéraire inépuisable, l'amour fou suffirait à justifier, en plus, l'existence du cinéma. Seule la voyeuse et songeuse caméra pouvait montrer avec autant d'évidence les mille et une métamorphoses des corps et des comportements qu il provoque, montrer aussi l ébahissement et souvent la cruauté de la société envers ceux qui aiment trop. Parce qu'il réveille en chacun un désir d'absolu, le cinéma n'est donc pas étranger à votre envie de déclarer aujourd hui à qui vous devriez ou ne devriez pas : je t'aime à la folie !