En se fondant sur une lecture de la Torah, l'auteur met en évidence un certain nombre de paradoxes et souligne les contradictions de la religion juive qui fait de l'homme un être primitif, barbare et sanguinaire. D'après lui, le progrès de l'humanité implique nécessairement la disparition du judaïsme et des autres formes de religion.

Cette lecture critique des Evangiles éclaire une série de contradictions conduisant à montrer que le christianisme repose sur des incohérences. L'auteur trace un portrait de Jésus qui permet d'après lui de prouver que celui-ci était un homme et non l'incarnation de Dieu. L'étude s'inscrit dans une critique plus générale du monothéisme.

Après s'être attaqué aux religions chrétienne et juive, l'auteur consacre son étude à l'islam, troisième religion monothéiste. Si l'auteur considère l'islam comme la forme achevée du judaïsme, par un théocentrisme absolu, il met en revanche en évidence un certain nombre de paradoxes montrant notamment que le fondement même de la religion est incompatible avec la réalité historique.

La vie d'un homme est faite de rencontres. Marcel Bolle de Bal évoque sous la forme d'anecdotes ou de lettres, sept personnalités qui ont jalonnné son parcours de sociologue : Arthur Doucy, Robert Henrion, Henri Janne, Michel Maffesoli, Edgar Morin, Guy Rocher et Renaud Sainsaulieu.

Réflexions sur les objectifs et les enjeux de la neutralité de l'enseignement, tant pour l'école que pour une société diverse et plurielle, tels définis par les décrets du 31 mars 1994 et du 17 décembre 2003.

Les troubles du calcul sont répandus. Certains estiment à 6,5 % les enfants souffrant de dyscalculie. Pourquoi, alors que le nourrisson est déjà capable de discriminer de petites quantités dès lâge de 6 mois, certains enfants sont-ils incapables dexécuter les opérations mathématiques les plus élémentaires ? Les recherches prouvent lintérêt et lefficacité de nouveaux processus thérapeutiques.