bonheur conjugal et de certitudes scientifiques, bascule le jour où il est impliqué dans un accident mortel. Parce qu'il se sent coupable, mais surtout parce qu'il fait ainsi la connaissance d'un jeune homme, Jed, qui lui voue sur le champ un amour aussi total qu'inexplicable, débute alors un harcèlement amoureux terrifiant et bouleversant.

Recueil d'essais où l'auteur évoque son enfance à Jérusalem, ses mythes et son devenir, partage ses espoirs et déceptions, et propose sa réflexion sur le rôle de l'écrivain face à l'histoire

David, petit fonctionnaire au service d'une administration sans visage qui gère l'espace onirique des scaphandriers du rêve, mène dans son sommeil la vie exaltante et dangereuse d'un cambrioleur aux effractions chaque fois plus risquées. (Livres Hebdo)

Dan Martin, détective hors pair, devient garde du corps d'une jeune star du cinéma. Une affaire juteuse certes, mais n'outrepasse-t-elle pas ses compétences ?

Une oeuvre à la fois violente, crue, drôle et horrible, selon Philippe Sollers, qui sous la forme d'une fresque autobiographique dépeint le rapport de l'auteur au sexe.

En comparant thèmes musicaux et philosophie de l'ironie, Alessandro Baricco montre que les oeuvres sont animées par un esprit de révolte et de transgression explosif. Trois réflexions et un entretien autour du processus de création artistique et de la représentation du monde et de ses concepts.

"Les sorcières d'Eastwick" se passe dans une petite ville côtière de l'Est des Etats-Unis. Trois femmes et un homme, adeptes de la sorcellerie, en sont les héros. Dans ce livre sarcastique, J. Updike recrée par la précision et le foisonnement de détails la vie provinciale américaine des années 70.

Des récits gais et poétiques pour lesquels l'auteur a utilisé de nombreux souvenirs d'enfance et puisé dans le folklore de l'Ukraine.

Au seuil du présent livre, auquel il incombe de proposer pistes de réflexion et repères à qui souhaite être guidé, il peut paraître paradoxal, voire déplacé, d'exalter, comme on vient de le faire dans ce "préambule" ou déambulation de première reconnaissance, le plaisir de se perdre dans le monde "enchanteur" et déconcertant du Quichotte. Mais en mystifiant ses lecteurs, Cervantès ne leur lance-t-il pas un défi, ne les invite-t-il pas à tenter de se hausser vers son intelligence suprême de grand créateur malicieux ? Il y a aussi un plaisir de mieux comprendre, de "s'y retrouver", et qui n'élimine pas celui de se perdre, comme en font l'expérience tous ceux qui, en dépit d'une longue pratique du Quichotte, redécouvrent, chaque fois qu'ils s'y replongent, un peu du délicieux désarroi de leur lecture première. »