Revient sur l'histoire de la course transatlantique créée en 1977 et atypique de par la petite taille des bateaux pilotés par des navigateurs, de tout âge et de tout niveau. Illustre le destin de certains d'entre eux, tels que Gilles Chiorri, Jean-Luc Van Den Heede, Yves Parlier ou encore Isabelle Autissier, au travers de témoignages. ©Electre 2017

L'auteure retrace sa dramatique traversée de l'océan Pacifique, au début des années 1980. Partis de Tahiti en direction de San Diego, Tami et son compagnon Richard Sharp subissent un ouragan durant lequel le jeune homme est emporté et leur voilier à moitié détruit. La navigatrice, restée seule à bord, parvient à rejoindre la terre ferme 41 jours plus tard. ©Electre 2019

S. Pierrefeu raconte son expérience de capitaine à bord d'un bateau à voile islandais, au cours d'un périple de trois mois entre l'Islande et le Groenland. ©Electre 2020

L'auteur propose une biographie de son grand-père, un écrivain et aventurier qui a voyagé en mer Rouge et à travers la Corne de l'Afrique au début du XXe siècle. Il révèle la personnalité et les questionnements de cet homme à travers sa correspondance et aborde sa relation avec lui. Avec une chronologie visant à restituer tous les événements de la vie de H. de Monfreid. ©Electre 2017

Quarante ans après sa victoire dans la Course de l'Aurore en 1973, Gilles Le Baud a couru l'édition 2013 de la Solitaire du Figaro à soixante-cinq ans, devenant le doyen de cette épreuve de voile prestigieuse. Son livre est un témoignage unique et un guide pratique à l'usage des candidats à l'aventure.S'il a pu éprouver concrètement l'évolution technologique des bateaux, celle du sponsoring, et le perfectionnement de la préparation des navigateurs, il a aussi pu constater que la dimension humaine de la course en solitaire n'a changé en rien.Gilles Le Baud a disséqué cette expérience unique pour en faire profiter ses cadets. Aussi personnel et sensible qu'informatif et documenté, son récit alterne les témoignages des deux époques, permettant de vivre la course de l'intérieur et sous tous ses aspects.Souvenirs de navigation, d'amitié, de fête et d'adversité, de lutte contre le sommeil et de fortunes de mer, de calmes plats et de tempêtes expriment à travers ce récit une passion de la voile que l'âge du capitaine n'est pas près d'altérer !

Le 30 juin 2018, trente marins quitteront Plymouth pour un tour du monde en solitaire et sans escale à bord de voiliers d'un autre temps. Pas de GPS, de pilotes électriques, d'appareils photo numériques, mais des équipements identiques à ceux embarqués en 1968 par Robin Knox Johnston, le seul à boucler l'épreuve après 313 jours de mer. Le Golden Globe Challenge fut une aventure épique et tragique dont ce récit met en lumière les héros invraisemblables. Hommage soit rendu à leur engagement avec la course du 50e anniversaire !En 1968, ils sont neuf à s'élancer. C'est une première : jamais un tel défi n'a été relevé et personne ne sait alors s'il peut être réalisé. Le journal londonien Sunday Times, sponsor de la course, lui donne le nom de Golden Globe Challenge.Bernard Moitessier, Loïck Fougeron, Chay Blyth, Robin Knox-Jonhston, John Ridgway, Donald Crowhurst, Bill King, Nigel Tetley et Alex Carozzo pointent leur étrave vers l'inconnu, avec en ligne de mire le mythique cap Horn. Plusieurs d'entre eux, à l'image du Britannique Chay Blyth, n'ont pratiquement jamais navigué en solitaire. D'autres ont choisi des bateaux incapables d'affronter les quarantièmes rugissants. Qu'importe ! Part qui veut, à condition de larguer les amarres depuis la côte anglaise entre le 1er juin et le 31 octobre. L'époque est encore au sextant, aux girouettes automatiques et aux postes de radio lourds et encombrants que Bernard Moitessier, le favori, refuse d'embarquer. On est bien loin de la sacro-sainte communication qui régit les courses d'aujourd'hui...Dix mois plus tard, un seul concurrent franchira la ligne d'arrivée à Falmouth.Abandons, naufrage, et même suicide – l'ultime salut de Donald Crowhurst – ont écrit les pages de cette course inimaginable. En tête de la flotte, Bernard Moitessier a décidé d'abandonner pour « sauver son âme » et poursuivre sa Longue Route jusqu'à Tahiti, ajoutant un demi-tour du monde à celui qu'il venait de réaliser... Avec ses protagonistes insensés, ses...

Le témoignage du plongeur, fondateur de l'association Orques sans frontières, sur sa fréquentation intime des orques de Norvège durant vingt années, depuis sa première expédition, Orca, en 1998. Au fil de plus de 5.000 rencontres sous-marines, il a pu nouer des liens particuliers avec ces cétacés, mettant au point une méthode non intrusive pour les approcher. ©Electre 2019

Conseils pour connaître l'environnement maritime, ainsi que la base de la navigation : les conditions météorologiques, les embarcations, les us et coutumes marines, la réglementation, etc.

Voici l'histoire peu ordinaire d'un homme né sans main gauche qui décida un jour de devenir marin professionnel. Damien Seguin sera au départ du prochain Vendée Globe en 2020.Damien a toujours su ce qu'il voulait faire de sa vie. La preuve : ses deux titres aux JO d'Athènes et de Rio, ses trois Route du Rhum accomplies entre 2010 et 2018, sa victoire dans le Tour de France à la voile en 2017 démontrent bien que le handicap n'est pas une anomalie mais peut être un formidable moyen d'insertion pour les jeunes.Champion, avec le souci de la transmission, il a créé l'association « Des pieds et des mains » qui continue avec lui le combat sur tous les pontons pour rendre la voile accessible. À l'instar de son père, guide de haute montagne, Damien est un véritable meneur pour ces sportifs handicapés, en même temps qu'il est devenu un exemple à suivre pour n'importe quel marin valide.Son histoire est peu banale, puisqu'elle va trouver un accomplissement avec son engagement dans le Vendée Globe en 2020, l'Everest de la voile. Faire le Vendée à une main, un défi fou ? Non, juste une course qui s'inscrit dans la logique du personnage, drôle et attachant, courageux et professionnel, méticuleux et ambitieux.

Retour sur le parcours du premier couple de navigateurs à participer au Vendée Globe : leur jeunesse, leur rencontre, la naissance de leur fils Ruben et leur passion commune pour la course au large. ©Electre 2021

A l'occasion des 40 ans de l'association Sea Shepherd, la créatrice de l'antenne française présente son fondateur, l'écologiste Paul Watson, et revient, avec lui, sur les actions les plus spectaculaires de son organisation. ©Electre 2018

La découverte du monde par la mer au cours des siècles à travers les découvreurs de terres inconnues et les pionniers de nouvelles routes maritimes. Le livre évoque ainsi notamment Magellan qui contourna l'Amérique, B. Diaz qui franchit Bonne-Espérance en 1487, la découverte de l'Australie par J. Cook en 1770 ou encore l'expédition La Pérouse.

Portrait de l'écologiste Paul Watson, fondateur de l'association Sea Shepherd qui lutte pour la protection des océans, notamment des requins, baleines, phoques et autres espèces victimes de massacres.

Peter Blake, navigateur néo-zélandais est le seul marin qui compte à son palmarès le Trophée Jules-Verne, l'America's cup et la Whitebread. Il abandonnera sa carrière de régatier pour se lancer dans la protection de l'environnement et entreprend à bord du Sea Master un tour du monde des points écologiquement sensibles. C'est à l'occasion d'une de ces expéditions qu'il est assassiné.

À l'occasion de sa troisième participation au Vendée Globe, Romain Attanasio nous livre tous ses secrets de préparation pour une des courses à la voiles les plus difficiles du monde.Depuis 1989, c'est la course qui fait le plus rêver les amateurs de voile en France et dans le monde. Le Vendée Globe, course autour du monde en solitaire, sans escale et sans assistance, met aux prises les meilleurs marins de la planète.Romain Attanasio, au départ de son troisième Vendée Globe en novembre 2024, fait aujourd'hui partie de l'élite de la classe IMOCA. Réunir un budget de plusieurs millions d'euros, rassembler une équipe qui va gérer au mieux le matériel, acquérir un bateau performant, le préparer pour la course… Ce sont tous ces défis que Romain raconte dans cet ouvrage. Sans oublier de nous livrer les secrets de préparation… du bonhomme ! Passer trois mois seul sur un IMOCA, dans des conditions météo souvent hostiles, ça ne s'improvise pas et demande un entraînement physique et mental à toute épreuve. Romain nous raconte aussi ses souvenirs de courses, comme cette collision avec une baleine qui lui coûtera deux safrans, ou comment il s'est évanoui et réveillé le visage en sang après avoir enfourné dans une vague à 30 nœuds…

Un texte enlevé et drôle, entre livre de mer, récit de voyage et huis clos, raconté par une femme marin.La matelote et les funambules est un récit de navigation, d'aventure et d'initiation croisée entre des marins et des alpinistes artistes et acrobates. Embarquées pour trois mois de voyage en voilier vers le Groenland, ces dix personnes se découvrent au fil des jours et des nuits de quarts, des grands calmes et des coups de chien. Ignorant tout des choses de la mer, les funambules s'étonnent et se rebiffent. Débusqués dans leurs habitudes et leurs évidences, les marins s'agacent de leurs bévues et de leurs manquements à l'étiquette maritime. Tout en traversant un océan malcommode, marins et passagers tentent de se comprendre et de vivre ensemble. Une fois au nord de l'Atlantique, Orion, leur destrier, se transforme en ruche à partir de laquelle l'improbable équipage explore le continent blanc et organise des spectacles dans les communautés inuites où il relâche. Les marins deviennent alors les élèves des musiciens et des montagnards. À l'école des sommets, à leur tour, ils s'étonnent et se cabrent. Entre émerveillement, poésie et amitié, l'élan des uns infuse l'allant des autres. Au retour, pour chacun, c'est certain, les lignes auront bougé.