Nadia est une rêveuse romantique, elle aime la mer, l'amour, la vie. Mais son frère veille au respect des traditions, alors quand elle rencontre Djamel et qu'il l'apprend, l'histoire tourne au drame.

P. Viveret montre que le modèle occidental de développement n'est pas soutenable sur le long terme ni même généralisable sur l'ensemble de la planète. Il tente de réamorcer le dialogue sur les valeurs humanistes et sur les engagements personnels et sociaux de chacun.

Au moment où Gustave Leroux rédige ce roman, la France est encore sous le choc de l'affaire Landru. Mais son héros n'est pas un simple tueur en série, il est l'instrument d'un grand dessein, d'un défi lancé à la science, et que Christine Norbert tremble de découvrir et qu'elle découvrira dans

Un récit écrit à la première personne qui ressemble à un double cri : celui d'un adolescent qui hurle sa révolte et son mal-être et celui d'un père démuni et inquiet. La faillite des anciennes valeurs, la survenue de valeurs nouvelles dépourvues de sens placent la jeunesse vietnamienne dans une position délicate. Se lit comme un conte initiatique. Premier roman.