Textes d'enseignants. Pour mieux comprendre les problèmes et les sentiments de ceux qui ont la charge de faire grandir les enfants.

Par petites phrases cinglantes, dans une atmosphère d'amour et de haine, l'auteur refait le chemin de la mort de sa mère et, par là, de la vie de sa mère. Un livre âpre et violent. Prix Rossel 1993.

"L'idée m'est venue de dessiner la belle âme du fils d'une prostituée et d'en compliquer chacune des alvéoles. J'ai inventé Bordeau, son bordel, ses putains, son proxénète, ses clients. J'ai trouvé Ptihom, un gamin qui regarde tantôt par le verrou de l'alcôve quand Maman est à la besogne, tantôt par la serrure de sa propre âme qui se consolide, se désespère et s'enthousiasme." ©Electre 2020

Cinquante récits brefs qui parlent du quotidien, de petits moments fugitifs. Des instantanés photographiques qui sont une invitation à voir les petites choses du quotidien dans leur fragile vérité.

Un récit qui s'élève contre l'extrême-droite, via un narrateur dont l'existence est entièrement gâchée par un père collaborateur. ©Electre 2022

Un premier roman qui entraîne le lecteur dans le monde troublant du rêve et de la confusion des sentiments. ©Electre 2021

A la mort de sa femme, un homme se retrouve seul et entame une réflexion sur le temps qui passe. Sous forme d'un long monologue, il se remémore sa jeunesse en Italie, son exil vers le Nord, sa vie avec sa femme et aussi les relations manquées du passé avec sa fille. Aujourd'hui cette dernière lui rend visite de temps en temps. L'un et l'autre conprennent qu'ils sont passés à côté de quelque chose d'essentiel. Le passage où le père exprime l'intérêt de ces visites dont il a pris conscience, est particulièrement émouvant. Car ces rencontres leur servent à tous deux à parler du passé, de ces choses qu'ils n'ont pu se dire ni se vivre quand elles le devaient, des raisons pour lesquelles ils sont restés étrangers l'un à l'autre, de sa prise de conscience à elle lorsqu'elle a réalisé que ce manque était aussi une douleur pour elle. Certes, dit-il, cela ne soulage ni du désastre ni du passé. Mais cela aide à construire le présent et à mieux profiter du temps qu'il reste.... (Millefeuille