Dès sa naissance au XVIIe siècle, l'opéra italien se diffuse sur tout le continent grâce à un réseau de production internationale, forgeant l'identité du genre lyrique qui devint un patrimoine artistique commun, cultivé par des générations de compositeurs aux origines et formations différentes. Les contributions réunies ici étudient ce patrimoine culturel européen.

A l'occasion des vingt ans du Festival Ars musica, l'épopée de la création musicale moderne est revisitée. Les choix et les rejets du festival sont expliqués, ses coups de coeur décrits et les lignes d'action des 6 directeurs expliquées. L'approche chronologique se double d'une analyse chiffrée : programmation, créations, présence des compositeurs et révélation de jeunes compositeurs.

A partir de documents et de témoignages d'époque, cette étude offre un tour d'horizon de la situation de la musique religieuse catholique antérieure à la Contre-Réforme, propose un aperçu des principales idées de la Réforme concernant le rôle de la musique, et retrace enfin les idées reprises par le Concile.

Le langage musical d'Europe a suivi une trajectoire unique et extraordinaire. Durant plus d'un millénaire, la liberté totale de l'artiste s'est cependant pliée à la necéssité de noter d'une façon chaque fois nouvelle le phénomène initial de la résonance naturelle.

Louise Henriette Volland, dite Sophie, née vers 1725 et morte le 22 février 1784, est une épistolière française dont aucune lettre n’a été conservée. Sophie Volland s’appelait en réalité Louise-Henriette, mais elle portait le nom, très populaire au XVIIIe siècle, de Sophie. Elle fut l’amie, la maîtresse et la correspondante privilégiée de Denis Diderot de 1755 à 1769 qui estimait son intelligence, sa formation et son jugement. Âgée de 29 ans lorsqu’elle a rencontré Diderot, peut-être par l’intermédiaire de Jean-Jacques Rousseau, elle était le contrepoint idéal de son épouse chicanière et de son élégante maîtresse, Madeleine de Puisieux... in ; Wikipédia, 2009-09-011

Le langage musical d'Europe a suivi une trajectoire unique et extraordinaire. Durant plus d'un millénaire, la liberté totale de l'artiste s'est cependant pliée à la nécessité de noter d'une façon chaque fois nouvelle le phénomène initial de la résonance naturelle.

A travers des correspondances, fables, journaux de voyage, mémoires, pamphlets, romans, gazettes, traités philosophiques, etc. le livre analyse la notion de plaisir musical dans la France du XVIIe siècle. Les auteurs démontrent que, au théâtre comme dans les sermons, la notion de plaisir apparaît au centre du discours esthétique du temps, dans sa dimension morale autant que spirituelle.

De 1833 à sa mort en 1871, F.-J. Fétis dirigea le Conservatoire de Bruxelles et publia le premier périodique en langue française spécialisé en musique. Il fut un acteur engagé de la vie musicale européenne et sa correspondance avec des compositeurs, interprètes et historiens de la musique témoigne de son engagement.

A partir du dépouillement d'archives et de l'examen de la presse internationale, la carrière d'A. Cluytens comme chef d'orchestre de concert et d'opéra est reconstituée et sa discographie établie. Elles sont complétées d'annexes présentant les programmes qu'ils a dirigés, de témoignages et critiques d'époque qui permettent de situer son travail dans l'environnement politique, social et culturel.