Emilien découvre que sa mère a un soupirant et décide de savoir de qui il s'agit. Il se fait passer pour le baby sitter tant attendu et fait connaissance avec les filles jumelles de son futur beau-père, qui semblent particulièrement redoutables.

Dans les contes siciliens, comme dans tous les contes, la chance sourit toujours aux amoureux et aux intrépides. Plus amoureuse que Nunzia, la fille d'un pauvre cordonnier, qui trouva son prince sous un artichaut géant, cela ne se peut pas. Catherine la Sagesse, elle, est fort intelligente et, comme toutes les héroïnes de ce livre, très téméraire. Se marier, pourquoi pas ? Quant à s'excuser d'avoir administré à son mari une gifle bien méritée, il pourra attendre longtemps. Le temps de l'épouser trois fois... Mais plus belle encore que Catherine, la mer Méditerranée est partout présente dans les contes siciliens. Cola Poisson y plongea pour aller chercher la couronne du roi Messine, il y nage peut-être encore... (Quatrième de couverture)

Le farfadet est immortel, mais il bout de colère et dindignation. Il nen peut plus. La planète souffre. Lair pur manque. La mer est couverte de pétrole. Les forêts brûlent. Les animaux disparaissent. Mais surtout, les hommes ne croient plus à la magie, ils ne croient plus en lui. Alors, pour oublier la pollution et le désenchantement, il boit des litres de ginIl veut pourtant réagir, vaincre sa peur en partant à lattaque ! Nimporte quelle attaque. Tiens, par exemple, pourquoi ne pas partir en barque pour défendre les rhinocéros, là-bas, loin, en Afrique, au bout de locéan ? Heureusement, la Maîtresse, reine des enchantements, veille sur lui.

Louga est une poupée de procelaine aux cheveux de nylon noir. Son coeur est brisé depuis qu'une petite fille l'a abandonnée dans la forêt. A l'aide d'une craie blanche, elle dessine alors une maison imaginaire, dans laquelle elle peut visiter le monde et rêver sa vie, seule. Du même côté du lac cependant, vit William, l'homme-arbre. Il a aussi le coeur brisé, enfermé dans un corps imposant.

Des histoires dans lesquelles Merri découvre trois oeufs bleus brillants comme des saphirs, quatre fées au chômage décident de faire souffler un vent de folie sur le royaume, Camomille part à la recherche de l'origine du mystérieux déluge qui sévit dans le village de Pabougé ou encore trois vieilles tisseuses recueillent un bébé et décident de le baptiser Paul Printemps.

Buster est un rêveur. Tout l'intéresse sauf l'école. Il aime surtout rêver, dessiner, écrire des poésies et peindre des dragons sur sa poitrine pour gagner le coeur des filles.

En 1962, la famille de Simon quitte Paris pour s'installer en banlieue. Mémé, qui arrive d'Algérie, refuse de prendre les transports et les rejoint à pied, accompagnée par Simon.

Le grand-père du narrateur est aviateur. Aussi, c'est depuis l'âge de 7 ans que celui-ci vole à bord du petit avion que son papi a nommé Paloma. Lorsque le vieil homme doit arrêter le vol pendant trois mois parce qu'il a un problème au coeur, son petit-fils est triste mais il a une idée. ©Electre 2021

Verte, l'apprentie sorcière se sent seule car Soufi déménage et Gérard a un père, Raymond, un ancien comissaire de police. Cependant une fille vient d'emménager dans le bâtiment B. Elle se prénomme Pome et Verte voit en elle l'alter ego parfait. (Mollat.com)

Les Mille et Une Nuits » comme si vous y étiez. Tout le monde a entendu parler des « Mille et Une Nuits », mais qui connaît pour de bon les récits de la belle Shéhérazade dont le nom est en réalité Chahrazade ? Pas grand monde. Il faut pour cela être un érudit ou bien connaître la traduction qu’au XVIIIe siècle, Antoine Galland fit de ce best-seller de tous les temps. Les enfants, eux, n’ont généralement droit qu’à des Aladin bien affaiblis ou à des Sindbad très écourtés. Ayyam Sureau, lorsqu’elle était une petite fille au Caire, a entendu raconter « Les Mille et Une Nuits » et elle en a gardé un souvenir ébloui. Pour faire partager à des enfants de langue française le bonheur qu’elle avait éprouvé, elle s’est plongée à son tour dans les versions égyptiennes. Elle y a choisi six contes qu’elle aime particulièrement, et puis, comme sa grand-mère l’avait fait pour elle, elle nous a entraînés dans les ruelles et sur les places des marchés, dans les patios ombragés des palais, dans la salle du conseil et même à l’intérieur des harems très fermés. Elle nous fait voir notre dernière heure sur le pont du bateau de Sindbad, puis mourir de soif dans le désert sur les traces d’Aladin. Elle nous a fait aussi mourir de rire en écoutant six jeunes femmes vanter la supériorité de leur beauté, et mourir de peur en nous emportant sur le dos du cheval d’ébène. Et puis, pour nous laisser reprendre notre souffle, elle nous a raconté l’histoire d’un pêcheur et de sa prise extraordinaire. Bref, elle a raconté des contes des « Mille et Une Nuits » avec la liberté que s’octroie tout vrai conteur pour être écouté, mais comme tout bon conteur, elle a respecté scrupuleusement le déroulement de chaque conte. Et si vous trouvez que Sindbad ressemble parfois à Ulysse ou bien que la brouille des frères du bol de grenade vous rappelle une histoire très familière, vous avez parfaitement raison. Ces ressemblances sont la marque des vrais contes populaires, qui ont voyagé pendant des siècles et des siècles d’une rive à l’autre de la méditerranée, en arabe, en phénicien et en hébreu, en grec, en berbère et en latin, en français, en italien...

« Les Mille et Une Nuits » comme si vous y étiez. Tout le monde a entendu parler des « Mille et Une Nuits », mais qui connaît pour de bon les récits de la belle Shéhérazade dont le nom est en réalité Chahrazade ? Pas grand monde. Il faut pour cela être un érudit ou bien connaître la traduction qu’au XVIIIe siècle, Antoine Galland fit de ce best-seller de tous les temps. Les enfants, eux, n’ont généralement droit qu’à des Aladin bien affaiblis ou à des Sindbad très écourtés. Ayyam Sureau, lorsqu’elle était une petite fille au Caire, a entendu raconter « Les Mille et Une Nuits » et elle en a gardé un souvenir ébloui. Pour faire partager à des enfants de langue française le bonheur qu’elle avait éprouvé, elle s’est plongée à son tour dans les versions égyptiennes. Elle y a choisi six contes qu’elle aime particulièrement, et puis, comme sa grand-mère l’avait fait pour elle, elle nous a entraînés dans les ruelles et sur les places des marchés, dans les patios ombragés des palais, dans la salle du conseil et même à l’intérieur des harems très fermés. Elle nous fait voir notre dernière heure sur le pont du bateau de Sinbhad, puis mourir de soif dans le désert sur les traces d’Aladin. Elle nous a fait aussi mourir de rire en écoutant six jeunes femmes vanter la supériorité de leur beauté, et mourir de peur en nous emportant sur le dos du cheval d’ébène. Et puis, pour nous laisser reprendre notre souffle, elle nous a raconté l’histoire d’un pêcheur et de sa prise extraordinaire. Bref, elle a raconté des contes des « Mille et Une Nuits » avec la liberté que s’octroie tout vrai conteur pour être écouté, mais comme tout bon conteur, elle a respecté scrupuleusement le déroulement de chaque conte. Et si vous trouvez que Sindbad ressemble parfois à Ulysse ou bien que la brouille des frères du bol de grenade vous rappelle une histoire très familière, vous avez parfaitement raison. Ces ressemblances sont la marque des vrais contes populaires, qui ont voyagé pendant des siècles et des siècles d’une rive à l’autre de la méditerranée, en arabe, en phénicien et en hébreu, en grec, en berbère et en latin, en français, en italien...

Les juifs d'Espagne furent condamnés à l'exode par Isabelle de Castille et Ferdinand d'Aragon en 1492. Ils durent quitter l'Espagne et trouver refuge dans d'autres pays. A la fin du XVIIe siècle, la langue des juifs venus d'Espagne est devenue le judéo-espagnol. Ces contes, issus de cette tradition, parlent d'amour, d'enfants gourmands et d'épouses plus rusées que le diable.

Clémence rêve d'abandonner son existence monotone de collégienne pour vagabonder à travers le monde. Oscar, son tuteur très particulier, aimerait bien fuir son corps avec ses bourrelets embarrassants et ses angoisses de fantôme. Un jour, Simon, un nouveau, arrive au collège et tout le monde cherche à lui parler. En effet, son visage et son corps se couvrent chaque jour de taches de couleurs.

Le père du narrateur s'est mis au tricot. Regardant en boucle les vidéos de Marie-Pierre Pelote, il crée des chaussettes, des écharpes, des sets de table ou des pulls, au grand désespoir de son enfant. ©Electre 2022

Dans une école vieillotte aux murs décrépis, le narrateur cherche vainement une raison de s'amuser. Yann Facchetti se prend pour le roi de la bagarre, Marylin veut bien jouer à être amoureux, mais pas au papa et à la maman.