L'école est en crise parce que les réalités et les valeurs qu'elle véhicule s'opposent en partie à celles de la société. Enseignants, pédagogues ou sociologues s'interrogent sur le rapport au savoir, un thème cher à Bernard Charlot. L'ouvrage illustre des pistes d'action concrètes afin que l'école retrouve sa justification aux yeux de tous.

Les erreurs des élèves ont souvent été considérées de façon négative. A partir d'exemples, l'ouvrage permet de les appréhender autrement en les utilisant de façon positive. Autrefois véritable objet de sanction, l'erreur devient, aujourd'hui, un indice pour mieux comprendre le processus d'apprentissage.

Initie à l'analyse transactionnelle, en décrit les outils et donne des exemples pris dans la fonction d'enseignant. Présente son application dans le domaine de l'éducation afin de résoudre des problèmes de communication, de relation, de gestion de groupe et d'accompagner l'élève de l'état de dépendance vers l'autonomie.

Décrit et analyse des pratiques artistiques permettant aux enseignants de reproduire, en les aménageant diverses situations vécues. Par le jeu dramatique, l'élève peut ainsi découvrir le jeu théâtral, mettre son projet à l'épreuve sous le regard des autres et être capable de s'exprimer autrement que par la violence.

Des conseils destinés à l'enseignant afin de l'aider à mieux diriger sa classe et à concevoir des situations didactiques appropriées. Faire face aux élèves agités, construire un projet éducatif ou organiser un travail en groupe sont autant de thèmes abordés. ©Electre 2016

L'objectif de cette pédagogie est de réconcilier scolarité et développement de la personnalité : confiance en soi, motivation, curiosité, maîtrise de soi et capacité d'adaptation. La méthode a été expérimentée dans une école maternelle publique. Les enseignants peuvent y puiser des éléments pour commencer des ateliers dans leur classe.

A partir de l'histoire de Frankenstein et de sa créature, de Pinocchio et de Pygmalion, le pédagogue interroge cette représentation de l'éducation comme projet de maîtrise de l'autre, de contrôle de son destin. Plusieurs propositions concrètes sont avancées, qui constituent autant de moyens d'éduquer sans fabriquer. ©Electre 2015

Initie à l'analyse transactionnelle, en décrit les outils et donne des exemples pris dans la fonction d'enseignant. Présente son application dans le domaine de l'éducation afin de résoudre des problèmes de communication, de relation, de gestion de groupe et d'accompagnement de l'élève de son état de dépendance vers son autonomie.

Des conseils à l'enseignant afin de mieux diriger sa classe et concevoir des situations didactiques appropriées. Faire face aux élèves agités, construire un projet éducatif ou organiser un travail en groupe, sont autant de thèmes abordés.

Réflexion sur la mobilisation des acquis scolaires en dehors de l'école, dans des situations diverses, complexes, imprévisibles. L'auteur analyse les enjeux du transfert de connaissances pour la construction de compétences de réflexion, de décision et d'action et leurs conséquences en terme de contrat pédagogique, de transposition didactique et de gestion des classes.

Si l'erreur a longtemps été considérée comme une faute appelant une sanction, elle est davantage perçue, aujourd'hui, comme un indice indispensable pour comprendre le processus d'apprentissage et comme témoin pour repérer les difficultés des élèves. Sans nier l'existence d'erreurs liées à l'inattention ou au désintérêt, Jean-Pierre Astolfi démontre avec précision qu'analyser les erreurs commises permet de mieux comprendre ce qui se joue dans la classe pour adapter son intervention pédagogique. S'appuyant sur de nombreux exemples, il identifie huit types d'erreurs pour lesquelles il propose médiations et remédiations. Parce que mettre l'erreur au coeur des apprentissages dépasse largement la sphère technicodidactique pour questionner le sens des activités scolaires. Vingt ans après sa première parution, L'erreur, un outil pour enseigner demeure une référence incontournable en pédagogie. Cette nouvelle édition est recontextualisée par Michel Develay.

A partir de l'histoire de Frankenstein et de sa créature mais aussi de Pinocchio et Pygmalion, le pédagogue interroge cette représentation de l'éducation comme projet de maîtrise de l'autre, de contrôle de son destin. Plusieurs propositions concrètes sont avancées, qui constituent autant de moyens d'éduquer sans fabriquer.

Les erreurs des élèves ont souvent été considérées de façon négative. A partir d'exemples, l'ouvrage permet de les appréhender autrement en les utilisant de façon positive. Autrefois véritable objet de sanction, l'erreur devient, aujourd'hui, un indice pour mieux comprendre le processus d'apprentissage.

L'objectif de cette pédagogie est de réconcilier scolarité et développement de la personnalité de l'enfant : confiance en soi, motivation, curiosité, maîtrise de soi et capacité d'adaptation. Pour la première fois, une telle expérience a eu lieu dans une école maternelle publique ; les enseignants peuvent y puiser des éléments pour commencer des ateliers dans leur classe.