Né à Colombus, Ohio, à la fin du XIXe siècle, J. Thurber, l'écrivain et dessinateur, travaille à Washington puis à Paris avant de rejoindre les Etats-Unis et d'entrer au New Yorker en 1927. Dans ces chroniques drolatiques, il met en scène sa famille avec malice et lucidité et fait revivre l'Amérique ordinaire du début du XXe siècle.

Recueil d'une quarantaines de textes dans lesquels S. Leacock (1869-1944) montre l'étendue de sa palette : parodies, humour noir, absurde et non-sens...

En septembre 1939, Milligan, jeune Londonien de 21 ans d'origine irlandaise, ne se presse pas d'obéir à l'ordre de mobilisation envoyé par le gouvernement de Sa Gracieuse Majesté. Enfant des classes laborieuses, Milligan se moque à coeur joie des officiers plus ou moins capables sous les ordres de qui il se trouve placé, et personne n'échappera à son humour ravageur.

Otis Lee Crenshaw est un paumé qui traîne son spleen sur les routes du Tennessee, vivant de combines minables et de menus larcins. Entre deux séjours en prison, il vole des mobile homes et épouse des femmes toutes prénommées Brenda, au nom de l'amour flou et de la noble institution du mariage express. Chanteur country à ses heures, Otis se rêve un destin à la Johnny Cash, au fond d'une bouteille de bourbon. Mais ce fauteur de troubles a les idées claires. Il ne manque pas d'une certaine sagesse, celle des perdants de l'Amérique. Personnage hilarant de redneck philosophe, Otis Lee Crenshaw est l'alter ego de Rich Hall, qui l'incarne en spectacle et en concert.