A travers le témoignage d'époux sur leur séparation, des éclairages complémentaires pour penser et vivre le sacrement du mariage quand il y a rupture du couple et de la famille. La réflexion est prolongée par des propositions concrètes d'ordre pastoral.

J. Gauthier pense qu'il est vain de tenter de définir Dieu puisque celui-ci échappe aux catégories, définitions, images et pensées. Le mystère de Dieu reste donc, selon lui, incompréhensible.

Les événements de la Shoah sont relatés pour perpétuer le souvenir de ceux qui les ont endurés, et associés à des citations bibliques et des chants, tout en laissant une large place à des textes poétiques, mode d'expression dense, pour que se transmette la mémoire de cette tragédie, et à une réflexion sur la transmission.

Retrace l'épopée d'une famille juive franco-allemande. Félix, né à Paris dans une famille juive orthodoxe, a sauvé de nombreuses personnes pendant la Seconde Guerre mondiale, au péril de sa vie. Arrêté par la Gestapo, torturé, il s'évade du train de déportation.

Cet argumentaire autour de la foi questionne la raison et son autorité, le devoir de rationalisation qui s'impose préalablement à l'exercice du bien commun, puis la sainteté de l'amour qui nécessite la foi pour se donner à voir.

S'inscrivant dans la pensée de G. Siewerth, philosophe thomiste, T. Avalle met en lumière la profondeur du vécu de l'enfant et valorise sa simplicité.