Le groupe de post-hardcore US se sépare en 2001 avant de se reformer pour la scène en 2012. Ce quatrième opus, intitulé In.ter a.li.a (expression latine pour "entre autres choses"), fait suite au classique Relationship of command paru en 2000. Il a été produit par Omar Rodriguez-Lopez avec Rich Costey (Muse, Biffy Clyro, Frank Turner) et enregistré à la Sound Factory d'Hollywood, studio légendaire où Ringo Starr, Brian Wilson ou encore les Red Hot Chili Peppers ont enregistré avant eux. (Electre)

Huitième album studio pour le groupe leader du black symphonique depuis sa formation au débuts des années 90. (Electre)

Quatre ans après Tout tourne autour du soleil, l'artiste revient avec 16 chansons où elle continue de livrer ses messages, tant avec conviction et poésie qu'avec rage et musicalité. Elle fait la jonction sur disque et sur scène entre les mondes du rap, du rock, de la chanson engagée et du reggae. Toujours pas de compromis avec le système médiatique et promotionnel, elle développe sa musique de manière virale et organique auprès de son public. (Electre)

Sorti en 1996, Murder ballads est un projet à part dans la discographie du groupe. Véritable album concept, les dix chansons qu'il comprend traitent en effet toutes de morts violentes, prenant leurs racines dans l'imaginaire très littéraire de Cave (Song of joy, Lovely creature) et dans le folklore américain (Stagger Lee, Crow Jane). Ambitieux, le disque recèle les deux plus célèbres duos qu'ait chanté l'australien, l'un avec avec PJ Harvey (Henry Lee), l'autre avec Kylie Minogue sur le fameux Where the wild roses grow, chanson aussi romantique que vénéneuse qui connut un grand succès.