Deux jeunes orphelines se rendent à Paris. À leur arrivée, elles se trouvent brutalement séparées. L'une, Henriette, est sauvée d'un enlèvement par un jeune chevalier, Roger de Vaudrey. L'autre, Louise, aveugle, tombe entre les mains d'une mendiante, la Frochard, qui l'exploite. Henriette, aidée de Roger, part à la recherche de sa soeur...

Les difficultés posées par la diversité narrative et théologique des récits canoniques de la résurrection proviennent du fait que deux traditions originellement indépendantes ont été rassemblées, l'une mettant l'accent sur la présence du Christ, l'autre sur son absence.

Cette suite de la lecture de l'évangile de Luc commente l'itinéraire de Jésus depuis les débuts de sa vie publique à Nazareth jusqu'à sa manifestation aux disciples le jour de Pâques. Une première étape suit le fil du récit plus une seconde aborde certains thèmes particuliers en s'appuyant sur le livre des Actes.

Une édition entièrement revue qui tient compte de l'évolution des connaissances, en particulier les explorations (échographie vaginale, hystéroscopie...) et des thérapeutiques (endoscopie opératoire, nouvelles molécules...).

Le célèbre conte raconté par Marlène Jobert.

En examinant les passages bibliques parallèles, le théologien met au jour le livre de Samuel-Rois tel que l'a connu le rédacteur des Chroniques du IVe siècle avant J.-C. Il note des erreurs de copie identiques dans le manuscrit dont s'est servi ce rédacteur et dans celui qui a servi de base au traducteur grec un siècle plus tard. Ce phénomène suggère l'existence d'un manuscrit archétype.

Ayant mis au point un puissant anesthésique, le Dr Hichcock l utilise sur son épouse, Margherita, pour assouvir sa déviance sexuelle : la nécrophilie. Un jour, une surdose accidentelle entraine la mort de la jeune femme. Le Dr Hichcock quitte alors sa résidence à Londres. Il y revient quelques années plus tard, en compagnie de sa nouvelle épouse, Cynthia (Barbara Steele). Mais, dès la première nuit, la belle subit une apparition fantomatique et menaçante, drapée dans son suaire blanc...

Dabord tenue pour un prophète et brulée comme une sorcière à Rouen le 30 mai 1431, Jeanne dArc tomba dans loubli sitôt sa mission accomplie. Depuis que les romantiques lont redécouverte, à la suite de Michelet, tous les partis sarrachent son étendard, lusant à toutes les causes, incapables de voir, au-delà de leurs intérêts immédiats, ce quil désignait de véritablement transcendant. Cest précisément lobjet de ce court essai, construit autour des paroles que Jeanne dArc prononça lors de son procès. ÆA chaque réplique éclate linsolence de la sainteté dans toute sa jeunesse. Jeanne, cest le jaillissement du mystère en pleine lumière, le génie du bon sens, la passion de la terre racinée dans le ciel, lirrévérence devant les grandeurs établies, lexistence entière comme un oui à lAmour plus fort que la mort, la sainteté casquée enfin oÆu aimer et agir ne font quun. Rien de surprenant à ce que lintensité de ses mots ait frappé limaginaire de poètes, écrivains, dramaturges et cinéastes de tous les horizons : Dumas, Péguy, Bloy, Bernanos, Suarès, Claudel, Cocteau, Anouilh, Shaw, Dreyer, Bresson, Preminger, etc. Pauline de Préval est journaliste à la chaîne Histoire.

Séduite et abandonnée alors qu'elle est enceinte par le riche Lennox Sanderson, la jeune et modeste Anna Moore se retrouve seule. Après le décès de son enfant baptisé Trust Lennox, elle se retrouve au service de la famille Bartlett. Le fils de la famille, David, tombe amoureux d'elle mais elle le rejette à cause de son passé, qu'elle garde secret. Le père de David ne tarde pas à découvrir ce qu'elle cache et chasse Anna immédiatement. C'est alors que réapparaît Lennox...

Cet essai analyse un film réalisé par un Hitchcock déjà riche et célèbre mais troublé par les principes de fonctionnement d'Hollywood.

Vingt-huit brefs chapitres composés de récits imaginaires, de lettres ou de méditations invitent à s'interroger sur l'existence humaine par le truchement de la science et de la théologie. Qui est-l'être humain, au milieu de cet univers scintillant d'étoiles, sur cette planète grouillant d'êtres vivants ? D'où vient-il : d'une poussière d'étoile tombée du ciel ou de LUCA, la cellule ancêtre de tous les vivants ?, etc. Comme Jacques Arnould le dit lui-même, « s'il y a dans ces pages de la théologie, pourquoi son école ne pourrait-elle pas, à l'occasion, se faire buissonnière, prendre les voies de la fiction ? »