Comme tous les petits garçons, Fanfan est un peu fanfaron. Il grimpe aux arbres et collectionne les araignées pour faire croire qu'il n'a peur de rien. En visite chez sa tante Monique l'excentrique, il aura enfin l'occasion de prouver qu'il est un vrai héros. D'abord, en dormant seul au grenier, ensuite en domptant une horde d'animaux échappés du zoo, enfin en méritant le respect des pompiers. Quelle fabuleuse aventure pour un petit fanfaron! Un album aussi amusant qu'un parc d'attractions, qui n'en livre pas moins une vraie leçon de vie: le courage, c'est dompter sa peur et affirmer sa différence.

Léo et sa petite soeur viennent de perdre leurs parents. Léo est démuni pour surmonter sa peine et expliquer la situation à sa petite soeur. Comment parler de la mort ?

Voici un texte poétique sur le temps qui passe. Sous forme de vers, on se laisse bercer par les souvenirs dautomne dElle. Cet album est un clin dil amusant aux souvenirs gravés dans notre mémoire. Un album réconfortant pour les longues soirées dautomne A lire près du foyer.

Un ours brun qui, s'ennuyant dans sa forêt, décide de partir à l'aventure. Au bout de plusieurs jours de marche, il arrive au pôle Nord et découvre un monde inconnu. Un territoire où tout est blanc, même les ours... L'ours brun qui voulait être blanc est une fable tendre et humoristique sur la différence et l'acceptation de soi.

Annabelle a perdu son Lapin Pinpin adoré ! Impossible de l'oublier, mais impossible aussi de le retrouver ! À moins que...Simone joue dans la cour lorsqu'elle fait une surprenante découverte : un doudou abandonné dans la neige ! A priori, impossible de retrouver son ou sa propriétaire. À moins que... Dans cet album tête-bêche, Janou-Ève LeGuerrier nous livre un récit vécu tendre et touchant, ingénieusement mis en scène grâce aux douces illustrations d'Amélie Dubois.

Un immigrant, c'est une personne qui vient dans un pays étranger pour s'y établir, souvent de façon définitive. En cette année 1911, ils étaient plus de 160 000 immigrants, hommes, femmes et enfants à débarquer dans le port de Québec. Epuisés après leur longue traversée de l'Atlantique - 11 jours en moyenne à dormir dans un espace restreint ou carrément sur ses propres valises -, mais portés par l'espoir d'une vie meilleure dans un nouveau pays. Venus des quatre coins de l'Europe, les voici au moment où ils arrivent en Amérique, tels que les voit les raconte un jeune aide-photographe.

Sven le pirate n'en peut plus d'An©♭mone. Depuis qu'elle a d©♭cid©♭ de ne plus ©®tre princesse et de donner dans la piraterie, il n'a plus le m©®me espace sur la M©♭duse, son navire. ♭Electre 2020

Alors qu'une belle journée d'été s'annonçait, il se mit à pleuvoir sans discontinuer. Les animaux se mirent à hurler, les bébés à pleurer, les automobilistes à klaxonner...

Il avait neigé toute la matinée. Le soleil pointait enfin son nez. Tout était blanc et étincelant.- Si on allait se promener ? proposa Maman Renard. Et Petit Renard explore la forêt, s'amuse à compter ses pas... et se perd ! Comment retrouvera-t-il sa maman ? Electre 2014

Le voleur Philémon Croquenot se rend à la plage. Il souhaite ajouter une nouvelle paire de chaussures à sa collection : des tongs fleuries couleur soleil. La chasse n'est pas bonne jusqu'à ce qu'il voie, tout près de sa voisine Huguette, les gougounes tant désirées. Après une manoeuvre calculée, il réussit son larcin… mais souvent, tel est pris qui croyait prendre !

Dans la tradition populaire québécoise, on ne trouve pas que des contes de diablerie ou de revenants. Une foule de contes font appel à la débrouillardise et à l'ingéniosité d'un héros. Mais, disons-le, ces histoires sont assez éloignées de la morale. En effet, ce sont des voleurs, des joueurs de tours qui suscitent notre admiration et s'en tirent presque toujours à la fin, justement grâce à leur ruse. Est-ce la raison pour laquelle ces histoires sont moins connues que celles des loups-garous et des diables où la bonne conduite et le repentir permettent aux héros d'être sauvés ? En tout cas, ces contes de ruse et de malice rétablissent un aspect un peu négligé de la vie rurale du Québec du XIXe et du début du XXe siècle où les habitants n'étaient peut-être pas aussi préoccupés qu'on l'a dit de leurs pratiques religieuses et de leur salut éternel. (Quatrième de couverture)

La nouvelle collection « Les grandes voix » offrira au public l'occasion de découvrir des textes forts de tous les horizons dans un format qui fait la part belle à l'illustration, celui de l'album illustré. Chaque texte sera associé à un illustrateur qui proposera sa vision personnelle de l'oeuvre, créant ainsi un opus original à découvrir. La chanson québécoise Quand les hommes vivront d'amour de Raymond Lévesque, écrite en 1956 alors que l'auteur résidait à Paris, est l'un des deux premiers textes de la collection à voir le jour. L'illustrateur émérite Pierre Pratt a choisi d'aborder le texte avec un regard positif et onirique. Que serait un monde où les hommes vivent d'amour ? Personnages insolites ou fascinants se côtoieront toujours dans un décor où la nature a repris ses droits. Un retour à l'essentiel, à l'amour. Pour tous les amoureux de cette grande chanson, et pour ceux qui ne la connaissent pas encore.

Pour ce livre bien particulier qui porte sur Louis Riel et sur la résistance métisse, André Leblanc a choisi de prendre la place du conteur et de raconter, de la façon la plus simple et la plus claire possible, une histoire extrêmement mouvementée et complexe, qui débute dans la brumeuse Angleterre au 17e siècle. Comme dans tous les contes, il y a des grands et des petits, des forts et des faibles, des riches et des pauvres, des gagnants et des perdants. Il y a des coups de chance et des coups de malheur ! C'est à une grande fresque historique qu'il nous convie. Qui était Louis Riel ? Pourquoi les Métis de l'Ouest se sont-ils soulevés ? Comment ont-ils pu résister à une armée bien équipée, dix fois plus nombreuse qu'eux ?

Ce livre, écrit et illustré par Anne Villeneuve, est inspiré de la vie de Kees Vanderheyden, auteur de La guerre dans ma cour, publié chez Boréal, et raconte sa jeunesse sous l'occupation allemande. Tantôt drôle, tantôt choquant, le livre relate surtout la confrontation de ce jeune garçon avec l'ennemi qui deviendra humain, puis finalement ami. La fin, imprévisible, est authentique.

Monsieur Lapin se lance pour une quatrième aventure, cette fois dans le grand froid de la banquise. Pour rendre service à son ami le commissaire Mastiff, monsieur Lapin part mener une enquête à Banquise City, où un mauvais plaisantin s'amuse à peindre les animaux de motifs colorés pendant leur sommeil ! Et monsieur Lapin n'y échappe pas non plus ! Le lapin enquêteur interrogera les habitants, visitera les pingouins du cirque abandonné, traversera des étendues glacées pendant un blizzard, et ne reculera devant rien pour percer, avec l'aide de ses amis les morses, le mystère du « peintre fou » de Banquise City.