Nathalie est une baroudeuse experte et son journal intime est bien entendu un journal de bord. Des histoires courtes autour d'un thème particulier : la télé, Julien, les rêves, les copines qui énervent, les voyages...

Joseph Bédier nous raconte en prose le plus beau roman d'amour de la littérature médiévale.

Un jour, une petite feuille se détacha de tout en haut d'un arbre très gros. Au même moment, un oiseau perdit une plume... (Quatrième de couverture)

Inspiré par la tradition rurale du Morvan et de la Nièvre, cette version du conte du Petit Poucet insiste aussi sur la débrouillardise et le courage de deux enfants abandonnés par leurs parents. Les illustrations dans les gammes de vert et de brun ternissent un peu l'album mais elles sont joliment traitées.

Léo hante les galeries du Palais-Royal, et apprécie tout particulièrement la compagnie de Madame Zenda la voyante. Comme celle-ci vient de se faire une entorse, il veut lui offrir une canne. Lorsqu'il arrive dans la boutique, il se heurte à un homme pressé et trouve le commerçant mort. Léo et Madame Zenda ont leur petite idée sur l'identité du coupable, d'autant que Léo a trouvé sur la semelle du mort un timbre rare qui n'avait rien à y faire ! Pourtant les cadavres se multiplient, victimes du mystérieux assassin, et Léo lui-même ne devra son salut qu'à la fidélité de Madame Zenda. Haletant, le suspense frôle l'épouvante et l'auteur ne ménage pas ses effets qui font frissonner à souhait; vraisemblable, puisque Léo est réellement mis en danger par ses imprudences ; bien construit, car la solution de l'énigme ne se révèle que dans les dernières pages. Scénariste de BD, Luc Dellisse écrit ici un vrai roman au rythme rapide, dans lequel les héros ont pourtant le temps d'avoir des personnalités complexes et attachantes. (Livres jeunes aujourd'hui).

Ces dinosaures ont toujours faim ! Le diplodocus se régale de fougères, le compsognathus croque les oiseaux et les lézards, le ptéranodon raffole de poisson... Quant au tyrannosaure, lui, est prêt à dévorer des.. dinosaures !

A peine Lefranc a-t-il déposé son ami Jeanjean dans le train pour qu'il rejoigne son oncle, le professeur Le Gall, qu'il apprend que ce dernier et le jeune garçon courent un grand danger. Malgré une course-poursuite avec les kidnappeurs, le journaliste ne pourra empêcher l'enlèvement de Jeanjean. Edition collector avec une couverture inédite d'après une esquisse d'époque de l'auteur. ©Electre 2017

Brusel, 21 juillet 784. Constant Abeels compte les pierres qui s'accumulent mystérieusement dans chaque pièce de son habitation. Chacune pèse la même chose : 6.793 grammes. Au même moment, dans un immeuble voisin, une mère de famille constate que du sable s'amoncelle chez elle...

"La nuit, il n'y a pas que les chats qui sont gris, il y a aussi les souris. Il y a des lumières qui s'allument et des fleurs qui se referment..." La nuit offre un spectacle très diversifié : ceux qui ne savent pas où aller (les sans-abri) ; ceux qui sont là où ils n'ont pas le droit (les cambrioleurs) ; ceux qui travaillent sous terre et sur mer ; ceux qui vont au bout du monde pour voir la nuit quand il fait jour ici. Un album qui révèle un talent d'auteur et confirme une illustratrice lancée l'an dernier par Olivier Douzou aux Editions du Rouergue. (Le Ligueur - Daniel Fano)

Un grand album carré cartonné pour suivre les ébats de trois bambins qui se bousculent, tombent, rebondissent sur le lit... Un ouvrage plein de vie aux couleurs gaies pour les tout-petits.

"C'était le début d'une journée pleine de surprises. A commencer pour Victor et Véronique qui se retrouvèrent coincés dans une espèce de cagibi au commissariat de Ouidah. Ce commissariat, c'était le genre monument historique, jamais conseillé par les agences de voyages." Pour une fois que les inspecteurs Frolot Victor et Roberval Véronique s'offrent une petite semaine de vacances au soleil, ils ne vont pas être déçus : l'Afrique les attend avec un mystère à la mode du Bénin, plein de superstitions et de mauvais sorts. Heureusement, Napoé et Komla, dix ans chacun, arrivent au secours de nos deux Parisiens plutôt désemparés ! (Quatrième de couverture)

Fuyant les combats, le sudiste Doyle, hanté par la petite fille d'un gradé nordiste qu'il a tuée, a été arrêté à Lake Providence pour le meurtre de soldats qui tentaient de pendre une fillette noire. Mais des marrons, anciens esclaves en fuite, menés par la petite fille qu'il a sauvée, le tirent de prison, espérant qu'il pourra les conduire jusqu'au Canada.