Sur ce premier album, le pianiste et compositeur hollandais a dépouillé sa musique, utilisant de simples sons pour exprimer, dans un vocabulaire néo-classique, des émotions complexes. Le disque renvoie à l'idée philosophique que la réalité existe seulement dans un esprit. Tout ce qui en est extérieur, le monde extérieur et les esprits des autres, ne peut pas vraiment être connu et n'existe donc pas. Sa musique est une expérience de communication existentielle, une croyance en une esthétique absolue, pour prouver qu'il existe une réalité universelle et métaphysique. Enregistré chez lui, dans le calme de la nuit, l'album est une collection de compositions introspectives et cinématographiques. (Electre)

Les enregistrements du chef d'orchestre autrichien occupent une place distinctive dans l'histoire du disque, et Deutsche Grammophon peut se vanter d'être le label avec lequel le plus charismatique des chefs d'orchestre est associé. (Electre)

Le pianiste réunit ici le premier concerto pour piano du compositeur russe et le troisième, l'un des plus difficiles et exigeants du répertoire. Il présente également ses propres transcriptions pour piano de la célèbre Vocalise et de 'The Silver Sleigh Bells' (Les cloches d'argent du traîneau), virtuose premier mouvement de la symphonie chorale 'Les Cloches'. (Electre)

Pour la toute première fois, Deutsche Grammophon fait paraître un best of regroupant les plus belles ouvres du prolifique Max Richter dans un double album. Sélectionnées par le compositeur lui-même, les pièces sont issues de ses albums solos, toujours salués par la critique, et de ses créations majeures pour le cinéma (The Leftlovers, Black Mirror, Hostiles, Marie Stuart Reine d'Ecosse.). (Electre)

Reflections est une rétrospective personnelle de l'auteure, compositrice, interprète et sitariste indienne. Anoushka Shankar a elle-même sélectionné ses titres favoris de ses albums à succès, Land of Gold, Traces of you et Rise entre autres, pour façonner une anthologie à son image. Outre ses contributions personnelles et sa vision de chaque pièce choisie, on y retrouvera les plus importants collaborateurs de sa carrière : son père et icône du sitar Ravi Shankar, sa sour Nora Jones, l'auteur et interprète Alev Lens, le compositeur et producteur Karsh Kale et bien d'autres. (Electre) (Electre)

Depuis 2010, le pianiste (révélation de l'année aux Victoires du Jazz 2013) et la percussionniste Vassilena Serafimova (Musicienne de l'Année 2009 en Bulgarie) forment un duo hors normes. Thomas Enhco, membre de la grande famille Casadesus, a baigné dans le classique avant de choisir l'improvisation et le jazz. Avec quatre albums à son actif, il parcourt le monde chaque année pour offrir plus de 100 concerts. La musicienne bulgare a quant à elle abordé la musique par l'école russe et intégré les marimbas, jeune instrument du XXe siècle, à une culture très classique. Elle complète sa formation au Conservatoire supérieur de musique et de danse de Paris et à la Juilliard School à New York. Leur album est représentatif de leur parcours : un voyage à la croisée des genres, entre classique, jazz, influences contemporaines et improvisation. (Electre)

La chute du Mur de Berlin en novembre 1989 a changé le monde. Sous l'impression de ce moment historique, le jour de Noël de 1989, Leonard Bernstein dirigea la 9ème symphonie de Beethoven au Konzerthaus à Berlin, baptisant l'ouvre pour l'occasion d' Ode à la Liberté, la Liberté remplaçant le terme de la Joie dans le titre du mouvement final de la 9ème de Beethoven. L'orchestre fut constitué de membres issus de six orchestres, représentant ainsi les deux états allemands et les quatre pays occupants de l'Allemagne : l'orchestre Symphonique de la Radio Bavaroise, de Dresde, de Leningrad (St Pétersbourg), Londres, New York et Paris. (Electre)

Après la disparition soudaine du talentueux Jóhann Jóhannsson en 2018, Deutsche Grammophon a mis tout en ouvre pour continuer le travail resté en suspend du compositeur. Le célèbre label jaune est fier de présenter ici un album inédit du compositeur dont les ouvres sont interprétées par l'ensemble Echo Collective avec qui il avait souvent collaboré. (Electre)

Seong-Jin Cho s'est démarqué dans le monde de la musique classique en gagnant en 2015 le concours Chopin. Après deux albums dédiés aux ouvres de ce dernier, il explore ici pour son troisième opus la musique de Claude Debussy. ` la veille du 100ème anniversaire de la mort du grand compositeur français, ce disque est consacré aux plus populaires de ses ouvres pour piano : les Images, la Suite bergamasque (dont Clair de Lune bien connu pour ses variations de rythmes) et Children's corner, ouvre qui a d'ailleurs marqué le début de la carrière de Seong-Jin puisqu'elle était au programme de sa toute première apparition sur scène. (Electre)

Deutsche Grammophon fait paraître pour la première fois la bande originale du film réalisé par Randy Sharp composée par Max Richter. Sorti en 2008, le film met à l'honneur les acteurs Christian Camargo, Joe Fuer et Brian Barnhart. (Electre)

Friedrich Gulda était un pianiste hors norme, et rien ne l'illustre plus clairement que ses enregistrements de Mozart pour Deutsche Grammophon. Cette édition spéciale documente l'évolution de son approche de la musique du compositeur germanique, de 1948 jusqu'à ses derniers enregistrements en 1999, réunissant en 10 cd enregistrés en 1980 et publiés pour la première fois en 2006, les sonates et concertos (sous la direction d'Abbado) réalisés pour Deutsche Grammophon et les premiers enregistrements du pianiste chez Decca, dont des concertos sous la baguette d'Anthony Collins et Paul Angerer.

Le pianiste et chef d'orchestre Daniel Barenboim s'entoure une nouvelle fois des deux talentueux solistes Kian Soltani (violoncelle) et Michael Barenboim (violon) autour d'un disque consacré à l'ouvre de Mozart. (Electre)

Après ses deux derniers albums (Silfra et In 27 Pieces) consacrés à la création contemporaine, la violoniste aux deux Grammy Awards revient à un répertoire classico-romantique dans lequel elle excelle. Il est difficile d'imaginer qu'il fut un temps où Mozart était un compositeur moins populaire que le violoniste belge Henri Vieuxtemps, d'environ trois générations son cadet. Aujourd'hui, si le nom de Vieuxtemps ne figure que rarement aux programmes de concert, il est très familier des violonistes.

Cette collection de cinq disques réunit tous les enregistrements de concertos réalisés par la pianiste pour le label jaune. Empreint de son affection particulière pour la musique de Mozart, Chopin et Schumann, ce coffret est une invitation au voyage dans un monde tout de délicatesse et de sérénité. En complément des concertos (Schumann, Chopin n°1 et 2, Mozart n°14, 17, 20, 21, 23, 26 et 27), nous retrouvons également le remarquable air de concert Ch'io mi scordi di te ? de Mozart, pour soprano, piano obbligato et orchestre, avec Christine Schäfer et son fidèle chef d'orchestre Claudio Abbado.

Le chef d'orchestre Stéphane Denève fréquente depuis longtemps l'ouvre de Sergei Prokofiev, et en particulier Roméo et Juliette ainsi que Cendrillon, deux suites, réunies aujourd'hui et sous des atours inhabituels sous le titre de Romantic suites. Il a en effet imaginé une nouvelle dramaturgie, plus conforme à son rapport aux ouvres, tout en partant des partitions originales. De quoi imaginer une nouvelle postérité à ces deux ouvres sublimées par le Brussels Philharmonic. (Electre)