Près de quatre heures d’enregistrements et près de 180 intervenants : •Des témoignages inédits de civils évoquant leurs souvenirs d’enfance dans leurs villages, de poilus, d’aviateurs, de marins •Des témoignages de soldats des anciennes colonies françaises •Des enregistrements allemands, américains, anglais, autrichiens, belges, canadiens, chinois, grecs, italiens, roumains, russes, serbes... •Des personnalités de l’époque : Bonnet, Clemenceau, Léon Daudet, Déroulède, Doumergue, Foch, Franchet, d’Esperey, Joffre, Lemery, Messimy, Paul-Boncour, Pétain, Poincaré, Ribot, Tzara, Viviani, de Vlaminck, Weygrand... •Des documents provenant de tous les dirigeants des pays engagés dans la bataille : Badoglio, Churchill, Diaz, Edison, Reine Elisabeth de Belgique, Franz Joseph, Franz Karl Joseph, Hindenburg, Jünger, Kerenski, Lénine, Ludendorff, de Mille, Pershing, Scheidemann, von Tirpitz, Trotski, Vénizelos, Wilhelm II...

Le succès rencontré par le premier volume des « réponses » d’Hubert Reeves (Astronomie) a démontré une nouvelle fois l’appétit du grand public pour une réelle médiation du savoir le plus pointu par des personnalités scientifiques de tout premier ordre. Hubert Reeves possède toutes les qualités nécessaires à une explication claire et limpide des problèmes dans leur globalité et il aborde dans ce second volume différentes questions cruciales pour notre devenir allant du réchauffement climatique (qui est désormais une réalité scientifique) à l’avenir de notre planète. Aux problèmes qui agitent nos contemporains (comme en témoignent les nombreuses questions qui lui sont posées à la fin de ses conférences), Hubert Reeves apporte une explication pédagogique en dehors de toute fausse croyance des enjeux de la question écologique pour l’avenir de l’homme. C’est à une nouvelle “révolution copernicienne” que nous invite Hubert Reeves. Il s’agira désormais pour les générations présentes et futures de ne plus se poser uniquement en maîtres et possesseurs de la nature, mais d’articuler le souci du développement économique (le quantitatif) et le respect de l’environnement (le qualitatif). »