Les explications d'un auteur pour savoir comment faire un livre sont l'occasion de jouer avec les mots et l'image.

N'Deye Botou vit à Keur-Mour, un village mauritanien. Elle occupe ses journées entre sa grand-mère avec laquelle elle vit, l'école, la vaisselle au fleuve, la baignade et le ramassage du bois mort.

Un lapin et une souris s'aventurent dans la nuit brusquement tombée et ne voient plus ni les champs, ni la maison. Ils sont aidés par un écureuil. Quand enfin, ils aperçoivent les lumières de leur maison, ils se précipitent pour aller dormir dans leur lit, tout en rêvant à ce qu'ils viennent de vivre.

Yvon Kempeneers ne supporte plus sa vie et la canicule qui s'abat sur Bruxelles n'arrange gère son état d'esprit. Un soir qu'il conduit, légèrement ivre, sur la petite ceinture de Bruxelles, sa vie bascule. (Livres Hebdo)

L'auteur (Université de Liège) aborde successivement : le diocèse de Liège, puis le pays de Liège dès le Xe siècle, au XIV-Xve la patrie est en danger, la renaissance liégeoise, le temps des princes de Bavière, l'âge d'or de la bourgeoisie, la réunion à la France et la révolution de 1830.

Une femme d'un certain âge s'éprend de celui qui lui accorde un sursis, un regain de jeunesse : son chirurgien esthétique, nouveau Méphisto de nos sociétés où règne l'image. Un roman à la limite du fantastique sur l'intimité des femmes avec leur propre chair et avec ce qui compte le plus pour la plupart d'entre elles : la persistance de leur jeunesse et de leur pouvoir de séduction. (Bibliotéca Magazine)

Vivien aime si également ses trois enfants que lorsque le temps est venu pour de lui de préparer son héritage, il n'arrive pas à choisir. Le notaire lui propose une solution juridique : l'indivision. "Ils se débrouilleront entre eux après votre décès, chacun prendra ce qu'il préfère ! Vous ne pouvez pas le faire à leur place..." Si Vivien est convaincu d'avoir fait de son mieux pour le bien des siens, à sa mort commence le drame, les drames : ces frères et soeurs qui s'entendaient, semble-t-il, jusque-là, se révèlent intransigeants, entêtés, procéduriers, odieux. La discorde, puis la haine, s'installent peu à peu. C'est hélas très fréquent en cas d'héritage : si les dissenssions prennent une violence extraordinaire, c'est que le partage de ce qu'il reste des parents remet en jeu tout ce qu'on a vécu avec eux sur le plan affectif : ce qu'on a eu, ce qui a manqué, ou qu'on croit qui a été refusé à l'un pour être donné à l'autre ! (Bibliotéca Magazine)