Quand la princesse Alyestère quitte, avec ses parents, son château en ruide pour aller vivre dans un appartement, c'est toute une remise en question de leur façon de vivre qui s'amorce. Voici posé avec humour et d'un point de vue inattendu le problème de l'intégration.

Les souris de L. Lionni invitent les petits à découvrir les chiffres de 1 à 10. A partir de 3 ans.

Comment un grand-père peut en racontant des histoires calmer des enfants turbulents. Dessins très humoristiques.

Il était une fois un tout petit roi qui habitait un petit château dans un lointain royaume. Un jour, il planta des bubles de tulipes... Pour les petits.

Pour apprendre à reconnaitre les lettres avec les petites souris. Pour les petits, à partir de 3 ans.

Des illustrations douces bien encadrées ou en toute liberté pour montrer l'effervescence régnant dans cette famille nombreuse la veille de Noël. Un livre à savourer et à explorer en détail.

D'abord publié pour célébrer le centenaire de la mort de Victor Hugo, cet album essentiel est réédité (dommage, il a perdu sa couverture toilée et sa jaquette illustrée), pour fêter cette fois le bicentenaire de la naissance de celui qui n'avait reculé devant rien pour raconter l'histoire d'un crapaud torturé par des enfants et épargné par un âne lourdement chargé... A l'occasion de ce poème, on doit bien avouer que Hugo en a fait des tonnes et n'a craint aucun effet ! Philippe Dumas, dont on savait déjà qu'il avait beaucoup d'humour, a donc eu l'idée de faire du poète l'invité d'Edouard, l'âne distingué, et de sa famille. Page après page, légèrement échauffé par les agapes et la boisson, Hugo va déclamer ses vers... Pauvres ânons ! Heureusement, l'aîné a le sens de la formule etretraduit pour ses frères et soeurs les propos parfois obscurs du poète : " Vinrent quatre écoliers sereins comme le ciel, j'étais enfant, j'étais petit, j'étais cruel " devient ainsi " surviennent quatre petits crétins qui sont pleins de mauvaises intentions "... Avec cet album impertinent, fort, drôle, on rit avec tendresse des excès du poète comme des attitudes des ânons. C'est une bonne façon de saluer Victor Hugo... (N'oublions pas que parmi tant de mots dits et écrits il a aussi prononcé cette phrase : " Si on veut fermer les prisons il faut ouvrir des écoles " ). L'Autre Rive