L'ex-guitariste/chanteur de Sonic Youth revient ici avec son douzième album solo sur le label Mute. Enregistré à New-York et Barcelone en collaboration avec Raül "Refree" Fernandez, Lee Ranaldo évolue vers des territoires musicaux inédits en accompagnant sa musique live de beats électroniques et de samples. Il a collaboré également avec la chanteuse Sharon Van Etten, Nels Cline (Wilco) et l'auteur new-yorkais Jonathan Lethem pour l'écriture de six de ses titres. (Electre)

Pour cet album, Angus Andrew, le fondateur du groupe, a décidé de changer ses habitudes. Alors que les opus précédents avaient été écrits et composés dans de grandes villes telles Brooklyn, Los Angeles ou Berlin, TFCF été écrit et composé au milieu du Bush Australien. Angus en est en effet originaire mais a quitté le pays il y a 20 ans. A la suite de son éloignement avec Aaron Hemphill, Angus est parti pour son Australie native pour travailler sur cet album qui ne ressemble pas aux précédents. Il s'est dès lors retrouvé avec la nature, et n'a jamais semblé aussi connecté avec son environnement que lorsqu'il était dans une grande ville. Cette situation donne à l'album une couleur intime et autobiographique. (Electre)

Hotel ambient faisait à l'origine partie de l'édition extrêmement limitée de Hotel, sorti en 2005. Cet album bonus, qui dévoile certaines des plus sublimes et immersives oeuvres de Moby, est aujourd'hui édité dans une version remasterisée et inclut des titres inédits. Hotel ambient fait le point sur ses racines, mettant en avant ses influences diverses, allant de Philip Glass, Steve Reich et Brian Eno, à la techno révolutionnaire de Derrick May à Detroit, en passant par l'IDM expérimental des premières sorties de Warp. (Electre)

Après des années d'absence, le groupe est revenu de façon brillante en novembre 2015 pour deux lives magnifiques à la Brixton Academy. L'album est l'enregistrement du deuxième soir. Un concert grandiose où les gars de Manchester livrent au public un live profond, ancré dans la vie et porté par une alchimie unique. (Electre)

Le "duo-couple" formé par Nicola Kuperus et Adam Lee Miller présente son nouveau projet. L'album s'est construit sur le modèle des résidences d'artistes graphiques. Son concept prévoyait que chaque artiste rejoignait le couple chez lui à Detroit pendant trois semaines, partageant son quotidien et travaillant avec lui en studio. Ont donc été invités à collaborer, Douglas J McCarthy de Nitzer Ebb, Michael Gira des Swans, Shannon Funchess de Light Asylum, Robert Aiki Aubrey Lowe aka Lichens, le joueur de thérémine Autrichien Dorit Chrysler et l'artiste multidisciplinaire Lunna Menoh. Le résultat donne un son expérimental aux contours anthropologiques, toujours fidèle à la couleur électropunk/électroclash qui a fait la réputation du groupe qui a déjà sorti 6 albums et 19 EPs ou singles. (Electre)

Alors qu'en 2013, le groupe sortait Tales of us, un disque folk empreint de tous les codes du songwriting ce septième album marque le retour dans un autre registre, tant sa palette sonore est électronique, sombre, profonde et inspirée de l'électro underground. (Electre)

Après le succès d'Eusa, Yann Tiersen revient avec le premier album à être enregistré dans son nouveau studio et salle de concert Eskal de l'île de Ouessant. Il a été mixé et co-produit par Gareth Jones (Depeche Mode, Earsure, Interpol). Dans la lignée d'Eusa, All continue d'explorer les thèmes de l'environnement et de la connexion avec la nature. Loin des rues de Montmartre on retrouve sur ce disque des sons captés partout dans le monde entre la Redwood Forest de Californie ou l'ancien aéroport de Tempelhof à Berlin. (Electre)