L'auteur met en lumière, à travers des anecdotes et des informations inédites, la vie familiale des cinq présidents de la Ve République, en analysant les liens entre vie de couple et pouvoir.

" J'ai appris à devenir curieux - c'est-à-dire, en fait, amoureux du judaïsme, de son histoire, de sa façon de penser, de ce qu'il dit du monde, de ce qu'il permet aussi de penser, de comprendre, d'imaginer, J'aime aussi la façon dont il accueille toutes les critiques et dont il doute sans cesse de lui-même. J'aime la façon dont il me fait réfléchir, comme beaucoup d'autres grandes cosmogonies, aux grands invariants du monde ; j'aime encore les histoires de tant de personnages de la Bible et de l'histoire, fidèles à leur foi jusqu'à la quitter ou paraître le faire ; j'aime enfin ces petites histoires qu'on appelle juives, éclairantes autodérisions. Enfin, et peut-être surtout, j'apprécie dans le judaïsme qu'il ne soit pas jaloux, mais tolère bien d'autres amours. "

Celle qui fut, à force de talent, de beauté, de travail, d'obstination et de larmes, la star absolue est partie un jour, par choix, dans l'éternité. Outre ce livre qui retrace, dans sa totalité et dans tous ses détails, la vie de Dalida, un film vient d'être tourné et sera diffusé prochainement sur France 2. (Quatrième de couverture)

Mégatropolis est une ville à deux facettes. D'un côté de la ville, des animaux vivent dans l'opulence, de l'autre, des animaux démunis connaissent la misère. Lorsque la maison de Wirral, l'écureuil, est détruite par des promoteurs, celui-ci se retrouve dans le côté pauvre de Mégatropolis. Wilhamina, un autre écureuil, et Froggo, un aviateur amphibien, viennent le libérer.

L'auteur entre dans la police en tant que commissaire-adjoint de la Préfecture de police de Paris en janvier 1962. Peu après il rejoint la Brigade anti-gang pour être nommé en 1974 à la tête de la brigade des stups de Marseille. Aujourd'hui il est directeur du SRPJ de Lille.

Jonas est jour et nuit au chevet d'Anna, plongée dans un coma profond depuis deux ans. Elle ne s'est pas noyée mais a été maintenue sous l'eau par Jonas. Par ailleurs, rien ne va plus entre Eva et Henrik. Eva rencontre Jonas et passe la nuit avec lui. Le soir même, Anna meurt à l'hôpital. Elle laisse ainsi la place à une nouvelle victime de Jonas car Eva finira elle aussi dans un coma profond.

Des souvenirs, des textes de chanson, des photos, des brouillons : l'enfance, des rencontres opportunes dont celle avec Léautaud, les premiers succès, Vian, Brassens, Brel... avec l'humour et la verve qui ont fait la gloire des chansons de Perret. (Livres Hebdo)

A bord d'un paquebot, en été 1991, lors d'un dîner, deux hommes semblent se reconnaître. Dans le regard qu'ils échangent passent des images de guerre, d'occupation et de libération. Ils ont 70 ans et les plaies de la vie ne se sont pas refermées entre les ennemis d'hier, français et allemand. Dans l'ambiance d'une fête commence un règlement de compte entre Hans et Jean, bourreaux et victimes.

Isabelle, une jeune Polonaise de bonne famille élevée dans le haras de son père, et Anton, un révolutionnaire, vivent une passion secrète. Mais bientôt cet amour est contrarié. La Pologne est occupée par la Russie. Les ghettos flambent et la répression sévit. Saga d'une famille polonaise prise dans les tourments de l'histoire, dans la Pologne occupée à la fin du XIXe siècle...

En 1999, sur différents continents, une femme mystérieuse recrute cinq orphelines dotées chacune d'un pouvoir surnaturel. Pour leur première mission, elles découvriront la raison de leur recrutement.

A travers la rencontre d'une multitude de peuples et de cultures, l'auteur tend à demontrer que le sage n'existe pas autrement que dans l'imaginaire et dans le rêve humain.

Louis Janover a été membre du groupe surréaliste dans les années 50. Il a collaboré à l'édition des oeuvres de Karl Marx dans La Pléiade, et à la revue Études de marxologie. Il est l'auteur de plusieurs essais critiques sur l'intelligentsia et sur le surréalisme.

Les limites de la vision économique de N. Sarkozy sont analysées par l'un des acteurs majeurs de l'économie française. L'essayiste dénonce des réformes périphériques, qui desservent selon lui la compétitivité de l'appareil productif, et appelle à préserver le moteur de l'économie de marché qu'est l'incitation à l'enrichissement personnel, incompatible avec l'appauvrissement des classes moyennes.

Après notamment le succès de Allah est grand, la République aussi, Lydia Guirous bouscule à nouveau l'opinion, et nos compatriotes. Face à l'islamisme, réveillons-nous, réveillez-vous ! clame-t-elle. Au prétendu nom de Dieu, les terroristes assassinent les " kouffars ", les Occidentaux et les musulmans " modérés "... et la réaction est toujours la même : " Ça n'a rien à voir avec l'islam ! " Cette phrase, Lydia Guirous ne la supporte plus tant elle lui paraît fausse. Elle assume que la religion musulmane - qui est la sienne - soit critiquable car elle porte en elle les germes de " l'islamisme destructeur et hégémonique qui est à l'origine de tant de malheurs dans le monde ". " Lorsqu'on tue au nom d'Allah, qu'on vocifère sa haine des mécréants, lorsqu'on s'appuie sur la partie violente du Coran pour légitimer ses crimes : Anéantir les mécréants jusqu'au dernier, cela a un rapport avec l'islam ", dit-elle. Dans cet ouvrage, Lydia Guirous pose les jalons d'une révolution salutaire et appelle à une remise en question des mentalités et comportements d'une partie des musulmans, et alerte contre l'islamisme qui gangrène les sociétés, notamment en embrigadant la jeunesse et les femmes. Il revient, selon elle, aux Français et Occidentaux de confession musulmane de faire des concessions, d'accepter des " accommodements " afin de retrouver le chemin de l'unité et de la fraternité. Elle invite à entamer - enfin - un travail critique du Coran, qui empêche l'émergence d'un islam du XXIe siècle compatible avec une vie moderne en Occident, délesté de ses archaïsmes et de ses ambiguïtés. Son ouvrage vif et enflammé va bousculer les bonnes âmes aveuglées comme les idées reçues dépassées. Il est " temps de résister à la peste verte venue des tréfonds de l'inhumanité et de la barbarie. Ecrasons enfin l'infâme. "

En succombant à une maladie du sang en 2005, T. Loy, chimiste américain, fut le 7e homme à mourir prématurément, parmi ceux qui avaient approché la momie découverte en 1991 dans les Alpes tyroliennes dont : H. Simon, K. Fritz, R. Henn, R. Holz, K. Spindler et F. Tiefenbrunner. Les auteurs retracent le cheminement des chercheurs confrontés à l'énigme d'Otzi assassiné il y a 3.500 ans.