Le Fils de mon fils — le titre est explicite — est la découverte, par Michèle, de son petit-fils Alexandre... Tout ce que Michèle écrit d'Alexandre — ses formules, ses découvertes, ses apprentissages — est d'une justesse parfaite. Journaliste dans l'âme, l'auteur a réussi son « grand reportage » en enfance... Curiosité intense et tendre. Voilà, c'est le mot : intensité'. La qualité de ce livre est l'intrépidité avec laquelle son auteur observe et formule ce qu'il est d'usage de taire pudiquement. » François Nourissier, le Figaro Magazine

Le monde s'écroule pour Hubert Habicht, haut fonctionnaire au gouvernement de Bavière, lorsqu'on retrouve dans le bois le cadavre de Robert, son fils unique. Abattu d'une balle dans la nuque, une exécution caractéristique de la Mafia. Les indices recueillis conduisent les enquêteurs jusqu'au bar munichois Le Toscana, sur les traces d'une belle prostituée, disparue depuis sans laisser d'adresse. Le Toscana sert de réseau de distribution pour la vente de l'esctasy, mais cela n'en facilite pas les recherches pour autant. Lorsque Habicht décide de retrouver par ses propres moyens la maîtresse et la meurtrière supposée de son fils, il tombe dans un complot qui le place devant un choix tragique. (Bibliotéca magazine)