Enregistré en novembre 2016 lors de sa tournée Mammifères, Miossec revisite ici ses classiques avec une formation inédite. Les images réalisées par Yann Orhan subliment ce moment unique, mettant parfaitement en valeur tous les titres incontournables de cet artiste d'exception. (Electre)

L'altiste allemand Niels Mönkemeyer est l'un des plus grands interprètes de son temps : détenteur de deux prix Echo Klassic, il jouit d'une réputation internationale. Le présent programme nous offre la suite pour théorbe et luth de Robert de Visée (XVIIe), ainsi que des mélodies plutôt rares de Michel Lambert (XVIIe) auxquelles se joint la ravissante voix de Dorothee Mields. La voix humaine se marie en effet particulièrement bien avec celle de l'alto ; et pour les autres pièces Nils Mönkemeyer est également entouré d'Andreas Arend (luth), Sara Kim (2e alto) et de Niklas Trüstedt au violon. (Electre)

Filmés les deux soirs, de jour, de nuit, sous la pluie, une scène en forme de ville du futur et qui prend vie petit à petit, un dispositif de caméras innovant, intime sur scène et dans le public ou spectaculaire avec une spider cam traversant tout le stade, les black city concerts c'est 2H30 de show, agrémentés de menu interactifs, un making of inédit qui font de ces 2 concerts la clôture en apothéose d'une tournée de plus de 80 dates devant plus de 800 000 spectateurs. (Electre)

Après avoir délivré leur pop folk joyeuse, fait l'unanimité de la critique, retourné la Cigale et le Printemps de Bourges, les six trublions de Reims proposent ici pas moins de dix inédits et face-b. (Electre)

A la tête du goupe, Bert Ostyn nous présente son album le plus personnel : la chronique musicale d'un trentenaire qui revient avec nostalgie sur ses années de jeunesse. Guidé vers des horizons musicaux inédits et inexplorés, on peut citer Eels, Grandaddy, Radiohead, voire Tom Petty et Jeff Lynne côté influences : un disque au son nouveau qui bascule vers une pop astucieuse. Mastérisé aux ẗats-Unis par Chris Athens, qui a remporté un Grammy pour son travail avec Drake, l'album a été enregistré à Gand dans une ambiance familiale et détendue, sous l'oeil du producteur Stéphane Misseghers, batteur de Soulwax et de dEUS. (Electre)

Au coeur du répertoire romantique, les Concertos pour clarinette de Weber, constituent une étape essentielle de la musique concertante pour l'instrument. Quand au Quintette avec clarinette, il est avec celui de Mozart la plus célèbre pièce de musique de chambre pour la clarinette et c'est aussi un grand chef d'ouvre à découvrir d'urgence pour ceux qui ne le connaissent pas. Fabio di Casola, clarinettiste suisse, a remporté en 1990 le Premier Grand Prix de Genève et se produit depuis lors comme clarinette solo, non seulement au sein des plus grands orchestre, mais aussi comme concertiste, comme ici.

Pour son grand retour au disque après 5 années d'absence, la soprano de renommée internationale dévoile L'amour, la mort, la mer, accompagnée de la pianiste Susan Manoff, sa complice de longue date. Pour Patricia, la musique semble tenir à ces figures mythiques que sont l'amour, la mer, la mort. L'amour devient marin, la mer devient Eros, et la mort n'est plus morbide. La mort aime et voyage au coeur des représentations que lui donnent l'amour et la mer. "L'amour, la mort, la mer sont les escales d'un voyage au cours duquel chacun de nous s'aventure au fil de sa courte vie" selon Patricia Petibon qui vole librement d'un registre à un autre, d'une langue à une autre, d'un style à son contraire mais néanmoins complémentaire. D'un compositeur à l'autre. C'est moins un récital qu'un récit qui se déploie. Elle voyage à travers des compositions classiques françaises (Fauré, Poulenc, Hahn) ou ibériques (Rodrigo, Granados, Ramirez, Villa Lobos), les univers oniriques, mystique ou mystérieux de Satie, Bacri, Baska, Barber ou Escaich... , jusqu'aux ancrages plus prononcés de la mer et de sa chère Bretagne (Cras, Tiersen, traditionnels irlandais), le tout ponctué de la sublime mélodie de John Lennon célébrant l'amour... (Electre)

Depuis la séparation des Kinks, Ray Davies a entamé une carrière solo caractérisée par ce même talent de songwriter et d'observateur critique de la vie quotidienne. Son album raconte le rôle déterminant que l'Amérique a joué dans sa vie. De ses premières tournées aux ẗats-Unis avec les Kinks jusqu'à son installation temporaire à New York puis à la Nouvelle-Orléans, en passant par sa mise à l'écart forcée par le syndicat des musiciens des ẗats-Unis, il est clair que l'Amérique a à la fois inspiré et malmené Davies. Voici donc le pendant musical de son livre autobiographique "Americana : Les Kinks, la route, le riff parfait". (Electre)

Suite au triomphe de la saison 1, auréolée d'innombrables nominations et récompenses aux Emmy Awards, Golden Globes, BAFTA, mais aussi aux Grammy Awards, la série événement fait son retour en 2017 pour une seconde saison. A cette occasion, Legacy Recordings dévoile cette compilation réunissant 30 tubes et morceaux indémodables des années 1980 issus des saisons 1 et 2 de la série. Parmi les artistes et les grands succès originaux présents figurent, entre autres, Toto (Africa), The Bangles (Hazy shade of winter), Corey Hart (Sunglasses at night), ainsi que plusieurs titres, issus de la saison 2. (Electre)