Canine chante en français, elle chante en anglais, elle chante surtout une langue étrange, personnelle, d'une voix déterminée et languide : on se demande parfois si Canine est homme, est femme. Son chant est grave, on ne peut pas tricher avec la soul qu'elle détourne vers une version très personnelle du genre, qui doit autant au R&B de pointe qu'au vintage Phantom of the paradise. Sa musique, une outre pop, une soul futuriste, a quelque chose de sacré aussi... Ce premier album, fruit d'années de réflexion, offre une expérience sensorielle d'où l'on sort hagard et béat, avec une seule idée en tête : repartir immédiatement dans ce trip en montagnes russes, dans ce bain reparateur. (Electre)

Ce sixième album s'annonce comme un disque des plus ambitieux sans pourtant qu'Emilie Simon n'en ressorte étouffée par un prestigieux entourage de collaborateurs. Au contraire, son écriture déliée et imagée, ses compositions spacieuses et charmeuses, l'énergie scintillante de sa voix n'auront jamais autant été mises en valeur. Plus organique, plus extravertie, la nouvelle Emilie brouille toutes les pistes où l'on pensait la trouver, presque méconnaissable et pourtant parfaitement elle-même. Preuve que la mue est réussie. Une mue spectaculaire, en cinémascope. Plus mûre mais toujours mutine, ingénieuse et ingénue à la fois, il faudrait être de pierre pour ne pas ressortir ému de cette mue enchanteresse.

Plus de deux ans après la sortie de son premier album, The human octopus, encensé par la presse, il revient avec un second opus qui nous fait décoller encore un peu plus haut. Ce deuxième effort est une galaxie arc en ciel, une arche scintillante comme une porte d'entrée vers un monde parallèle. Notre héros, profondément accroché à ses rêves d'enfant, incarne dans cet enregistrement un "Casper des temps modernes" qui surfe sur les nuages plus vite que le vent et se faufile au gré de ses envies...

La musique du film est écrite par Dionysos, on y retrouve de larges extraits de l'album La mécanique du cour paru chez Barclay en 2007, deux titres d'Olivia Ruiz où elle chante en espagnol, des instrumentaux et des inédits.

Une bande originale puissante d'Adrien Bekerman, élève de Michael Stevens, émaillée de chansons inédites chantées par les enfants du film. (Electre)

Cette légende vivante de la télévision reprend ici onze chansons qui ont jalonné sa jeunesse, onze standards qui évoquent l'après-guerre, cette période pleine d'enthousiasme et de liberté. (Electre)

Les plus grands moments de la carrière musicale de Jacques Brel. 1959 - 1973 : 1 récital aux Pays-Bas, des extraits de Discorama 64 et 66, des reportages en tournée, des interviews... des documents audiovisuels rares et minutieusement restaurés.

Retrouvez Yves Montand dans ses plus grands succès...