Entre profondeur des mots et profondeur des sons, jamais l'ex-participante de la Star Academy n'avait donné cette impression de puiser si loin en elle pour trouver la source de ses chansons.

Pour ce film au ton très libre et étrange, Tellier a choisi une voie électronique rétro-futuriste dans la tradition de Giorgio Moroder. Aidé de son compère John Kirby, il a saupoudré la pellicule de thèmes langoureux où l'on peut entendre ça et là des hommages à Marvin Gaye ou à Ennio Morricone. (Electre)

Le concert couvre toutes les décennies de l'icône, avec les singles de son dernier album Rebel heart et tous les grands classiques vénérés par les fans. Pendant 7 mois, la tournée a fait escale dans 55 villes sur 4 continents. Madonna donna ainsi 82 concerts, repoussant les limites avec une mise en scène époustouflante. (Electre)

Retrouvez les Enfoirés dans leur spectacle 2012 au profit des Restos du Coeur...

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Deutsche Grammophon poursuit la série de rééditions d'opéras légendaires en livre-disque deluxe ainsi que ses célébrations du centenaire Bernstein, avec cet enregistrement triomphal de Carmen de Bizet. Bénéficiant d'une remasterisation en 24bit/96khz d'après les bandes originales en quadriphonie, l'opéra est présenté sur 3CD puis sur un Blu-Ray Audio au son surround 4.0. Le livret trilingue de 160 pages réunit libretto, synopsis, des photos des séances d'enregistrement et des représentations au Metropolitan Opera, ainsi que des notes d'introduction de John Mauceri, ancien assistant de Bernstein. (Electre) (Electre)

Avec la parution de son premier album chez Deutsche Grammophon, Daniel Lozakovich, jeune prodige de 17 ans suit les traces du succès d'Anne-Sophie Mutter et David Garrett et devient le plus jeune musicien jamais signé par le label jaune. Pour ce premier disque Lozakovich présente les deux concertos pour violon, de Jean-Sébastien Bach, en collaboration avec l'orchestre de chambre de l'Orchestre symphonique de la Radiodiffusion bavaroise, et la Partita pour violon seul N°2 avec sa célèbre Chaconne. Auréolé de nombreux prix, le jeune violoniste suscite une reconnaissance unanime auprès du public et de la critique par sa technique magistrale. (Electre)

Les aventures du guitar héros français continuent avec un album ultra pop, très direct où se concentrent tous les atouts de l'artiste : générosité, talent mélodique, gimmicks imparables. Il joue presque tous les instruments et se laisse aller à l'enthousiasme d'un retour jouissif, plus décomplexé et ludique que jamais, tout en gardant un sens intact de la connivence, d'une poésie singulière. Le jeu, la joie certes, mais l'émotion n'est jamais loin et une certaine idée du vivre ensemble affleurent toujours sur de nombreuses chansons. C'est sa force, assumer sans limite le désir de partager, éprouver sensations et sentiments avec la même intensité.

Cinq ans après l'album Eldorado voici un retour attendu pour le plus hexagonal des chanteurs helvètes. Un onzième album qui est avant tout une histoire de rencontres. Avec Mark Daumail, l'artisan du son Cocoon, ou encore Fred Avril, auteur à l'aube du XXIe siècle de deux albums d'une électro pop inclassable. C'est ensemble que Stephan et Fred ont entre autres esquissé Le Sourire, premier extrait de l'album. Et puis il y a Disparaître, ballade lacrymale portée par un texte bouleversant, écrit par Miossec. Stephan Eicher jongle avec les instruments avec une dextérité étourdissante, entouré de nouvelles têtes (William Tyler de Lambchop, Edith Fambuena, Volker Zander bassiste de Calexico, etc.) et vieux copains (dont Martin Wenk de Calexico). L'écrivain français Philippe Djian est toujours très présent sur les textes et cosigne même la musique de l'un des titres de l'album.

Desplat s'est fait connaître notamment pour ses compositions pour Le discours d'un Roi (BAFTA), De rouille et d'os (César), Le grand Budapest hotel (Oscar et BAFTA) ou encore Le prophète. (Electre)