Antoine de la Perdrière a toujours entretenu des relations difficiles avec son père. Devenu veuf, ce jeune architecte cause, alors qu'il a bu, un accident de voiture : il percute un enfant, qui meurt. Il est condamné, envoyé en prison et sombre dans la déprime. A sa sortie, il s'installe en banlieue parisienne. C'est alors qu'il apprend sa possible séropositivité. Un rencontre avec un peit voisin, Erwan, sept ans, va changer le cours de son existence. (Bibliotéca Magazine)

Laura, qui n'est pa jolie, est le guide de Claudio, un ténor aveugle qui a les plus belles femmes à ses pieds. Par amour, elle décide de tout faire pour qu'il recouvre la vue et qu'il interprète le rôle d'Alfredo dans la Traviata de Verdi, et de s'en aller à ce moment-là. Claudio réalise alors que lui aussi aime Laura. (Livres Hebdo)

1521. Isabeau, qui possède un pouvoir qui la lie aux loups, cherche toujours à se venger de François Chazeron qui, il y a plusieurs années, l'a violée et a tué son mari. Loraline, sa fille née de ce viol, a échoué dans la vengeance et Chazeron est toujours vivant. Mais Isabeau, devenue la lingère du roi, voit un jour arriver sa petite-fille Marie accompagnée d'une louve. (Livres Hebdo)

Après la Seconde guerre mondiale, les Vanbergh se retrouvent autour de Coralie, soeur de leur mère et grand-mère tant aimée. Elle a laissé en australie son passé et ses souvenirs pour revenir dans le Nord de son enfance. Pour fêter ses 80 ans, sa famille fait revenir en France un couple de serviteurs noirs qui a pris soin d'elle en Australie. (Livres Hebdo)

"La Dernière Chance" conte les difficultés du restaurant Babouchka, tenu par une des filles de la narratrice, son mari d'origine russe et ses proches. Pour le sauver, la grand-mère de choc devra affronter la télévision. "La Dame Blanche" part du sauvetage d'une chouette emprisonnée dans le conduit de la cheminée et file le thème de la jalousie conjugale. (Bibliotéca magazine)

Dans ce roman, Michel Jeury - s'il reste fidèle à son décor de prédilection, les Cévennes - passe du XXe au XIXe siècle et de l'univers de l'instruction publique à celui des filatures et des vers à soie. Dans ce monde où s'affrontent deux cultures - la protestante et la catholique - l'auteur développe une saga historique et sentimentale. La belle Alexandrine Jourdan, fille de muletier, est le personnage central de l'ouvrage. Michel Jeury raconte comment cette jeune femme intelligente et volontaire bâtit son destin exceptionnel et franchit une à une les épreuves sociales... et amoureuses. (Bibliotéca magazine)

Au printemps 1947, Blandine (fille de propriétaire de domaine sur l'Aubrac) apprend par une série de lettres anonymes que son mari, victime d'un règlement de comptes quelques mois plus tôt, a rançonné des femmes du pays en 1944 avec une bande de faux maquisards. Léonard, son père, le maître du Cayla, doit se battre pour sauver l'honneur de la famille, déjouer les plans de son petit cousin qui convoite leur montagne (des pâturages d'été). La jeune femme retrouve goût à la vie grâce à un vacher, Gauthier, dont elle tombe amoureuse et qu'elle finira par épouser. Mais leur vie dans cette grande ferme de l'Aubrac sera ponctuée d'épreuves... (Bibliotéca Magazine)

Au coeur de la forêt corrézienne au début du siècle, les parents Barthelemy et leurs trois enfants n'ont pour se nourrir que des châtaignes et quelques produits de leur ferme. François, le fils aîné, doit renoncer à l'école pour se placer comme valet de ferme, Julie comme lingère au château, Mathieu, le dernier, va s'engager dans les bataillons d'Afrique. Seul François restera au Pradel sur les terres de son père, travaillant jour et nuit pour tenter d'améliorer le quotidien et permettra à son fils de faire ce dont il a été privé : aller étudier à la ville pour devenir instituteur. (Bibliotéca Magazine)

L'auteur conte avec pudeur et délicatesse l'enfance de Sylvie, surnommée Viou, qui a perdu son père pendant la deuxième guerre et vit chez ses grands-parents. Ecriture remarquable de finesse et de sensibilité.

L'histoire d'un paysan parmi d'autres, que la rudesse de la vie rurale a façonné corps et âme...

L'histoire de Lauren et Arthur défie les recoins rationalistes de votre cerveau. Mais c'est bien vrai : cette jeune femme blottie dans le placard d'Arthur l'architecte n'est pas vraiment là. Ou plutôt elle est là, mais seul Arthur peut la voir ; pourtant elle n'est ni un esprit ni un fantôme, et si elle semble joliment réelle, parle, râle et sourit, son véritable corps est au cinquième étage de l'hôpital de San Francisco, en état de coma dépassé. Un accident de voiture, six mois auparavant. Arthur veut comprendre comment l'esprit et le corps de Lauren peuvent s'être ainsi séparés. En vain bien sûr : comment pourrait-il résoudre un des plus grands mystères de la médecine ? Mais une amitié se noue, et, en trois semaines de ce bonheur paisible, ça y est, ils sont amoureux. C'est alors qu'à l'hôpital, les médecins convainquent la mère de Lauren que celle-ci ne se réveillera jamais, et qu'il vaudrait mieux pour elles deux pratiquer une euthanasie. (Bibliotéca Magazine)

La ferme de Barcus et de Bella, sur le revers pyrénéen, n'est qu'une masure, mais elle possède une magnifique porte sculptée, héritage du grand-père et qui fait l'orgueil de Barcus. Un soir, une petite caravane se présente : un guide, un homme d'âge, une jeune fille : Noémie. Enfant gâtée, capricieuse, Noémie s'éprend de la porte. Elle propose à Barcus vingt fois le revenu d'une année de travail s'il lui cède la porte : une somme fabuleuse qui fera du pauvre fermier un grand propriétaire au village. Barcus accepte. Il devra transporter la porte jusqu'à Saint-Jean-Pied-de-Port pour le proche mariage de Noémie. (Bilbiotéca Magazine)

Travestie en garçon et élevée comme tel par un père frustré de filiation mâle, la petite fille de "L'enfant de sable" recouvre son identité réelle à la mort de son géniteur : à vingt ans. Ahmed devient Zahra. Libre d'être femme, elle part à l'aventure. Merveilleusement imagé, ce livre est avant tout une magnifique histoire d'amour.

La grand-mère de l'auteur était une paysanne belle, simple et bonne. Elle raconte sa vie, parle de sa famille, de ces quatre-vingt-six années qu'elle a vécues en restant attachée aux valeurs profondes qui ont fait sa force et celle de toutes les générations antérieures qui l'ont façonnée. Ce livre, écrit avec simplicité, dans un style direct et coloré, laisse une impression de grande sérénité.