On se représente traditionnellement Satan comme l'ennemi de Dieu, ce Lucifer qui se rebelle et amène Adams et Eve au péché. Mais derrière ce scénario se cache une histoire complexe que Henry Ansgar Kelly s'attache à débrouiller. Car ce Satan-là est l'oeuvre des Pères de 1'Eglise. Et il existe un autre Satan, dont la biographie originelle se trouve dans le Nouveau testament : fonctionnaire odieux du Gouvernement divin, il se dit en charge des royaumes du monde et Jésus prédit sa chute. Avec une minutie d'orfèvre, l'auteur s'emploie ainsi à raconter les vies de Satan, figure protéiforme dont se sont emparés théologiens et artistes.

Gaby est victime d'attouchements de la part de son beau-père, un ami de son père mort à la guerre. Elle finit par dépasser sa terreur physique et psychologique, pour s'opposer à lui et tout tenter pour s'échapper.

L'infâme cambrioleur-bouquiniste Bernie Rhodenbarr a juré de ne plus pénétrer chez autrui par effraction et s'y tient. Mais un soir, il apprend que les riches Gilmartin seront au théâtre...(Livres hebdo)

De Gaulle 3. Le souverain (1959-1970) " Etait-il encore possible de faire œuvre originale en écrivant une biographie de Charles de Gaulle ? Tant de livres lui ont été consacrés qu'il y avait de fortes raisons de douter qu'on puisse apporter du neuf sur une existence dont il semble qu'aucun chapitre n'a résisté aux témoignages des proches, aux confidences des mémorialistes, aux investigations des historiens. (...) Que la chose fût encore possible, Jean Lacouture en apporte une éclatante démonstration. Qu'elle le reste encore après lui, la question se pose : si le terme de définitif a quelque sens pour une étude, il s'applique assurément au livre qu'il publie sur De Gaulle. (...) Le " Lacouture " restera l'ouvrage de référence. " René Rémond

Nate Weiss a intégré l'équipe du Community relations office, ou CRO (corbeau), censé améliorer les relations entre la police et ses usagers. Ali Aziz, un propriétaire de bars topless déterminé à obtenir la garde de son fils de 5 ans, est la victime d'une machination orchestrée par son ex-femme, Margot, pour l'assassiner sous les yeux d'un inspecteur du CRO.

Un recueil des voeux, petits textes généralement fondés sur des variations homophoniques, que l'écrivain envoyait à ses amis à l'occasion du nouvel an entre 1970 et 1982, année de sa disparition... A l'origine de ses Voeux, il y une série homogène d'énoncés que Georges Perc emprunte à la culture la plus familière : proverbes ou expressions toutes faites, noms de cinéastes ou de musiciens célèbres, titres de livres ou de films connus. C'est là qu'il puise de quoi bâtir un dialogue, une scène, un récit...

Une approche de l'Eglise en tant que force d'encadrement et de structuration de la société au Moyen-Age, à travers la construction de monuments spécifiques comme les cathédrales.

Dans la première histoire, Beurk est puni pour avoir apporter une limace à l'école. Dans la seconde, Polly refuse que son frère Beurk s'immisce à sa fête d'anniversaire. Beurk vexé, se venge.

L'auteur livre ici une réflexion structurée sur la non-violence. Ce ne peut être de la résignation ou une démission devant le pouvoir, mais une résistance active et pacifique à l'exemple de Gandhi, M.Luther King ou des paysans du Larzac face aux abus de l'autorité. Un livre qui bouscule nombre d'idées reçues.