Deux itinéraires vrais. Deux récits poignants. Deux chroniques parallèles qu'il faut lire, parce qu'en 2005, soixante ans se sont écoulés depuis que les portes des camps, ouvertes par les alliés, ont livré leurs survivants. Francine Christophe est de ceux-là, portant inlassablement son témoignage. Ce témoignage est lourd puisque trois années de prisons et de camps ont coupé sa jeunesse - sans briser son enthousiasme, sa force, son amour de la vie - un métier, une famille, et maintenant l'écriture. Cette fois, elle raconte le destin de Guy, son premier amour, et de Michel, un jeune ami. Les deux se rejoignent dans l'étrange fraternité des années sombres que Francine nous fait partager depuis son premier livre, Une Petite Fille Privilégiée.

Ces nouvelles ont pour cadre la tour d'Eben-Ezer, édifiée par le père de l'auteur, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, pour rappeler l'invasion allemande.

Comment réussir l'adaptation entre l'offre de formation et les exigences du marché d'emploi ? Autrement dit, comment professionnaliser les étudiants en formation universitaire ? C'est dans cette optique de professionnalisation que cet ouvrage est inscrit. Il s'intéresse particulièrement à la formation en architecture d'intérieur. L'objectif est d'établir un dispositif pédagogique professionnalisant spécifique à l'atelier de méthodologie de projet d'architecture d'intérieur en master professionnel. Pour ce faire, l'auteure propose une combinaison de deux formules : la pédagogie par projet et l'intelligence collective comme stratégie opérationnelle de la professionnalisation. Dans cette perspective, l'auteure établit un exemple de dispositif construit à base de référentiels de métiers et de compétences. Cette formule pédagogique pourra être utile, non seulement pour cette discipline mais aussi pour tout enseignement du projet en design ou autre.

L'objet de l'ouvrage est d'essayer d'éclairer le rapport caché entre un auteur et le meilleur de son oeuvre. Analyse les relations entre Mallarmé et sa fille, l'obsession de la Toison d'or chez Nerval, la fonction des tables tournantes chez Hugo, le rôle de Marie de Heredia dans le silence de Louys, afin de comprendre par quoi ces oeuvres sont nourries.

Au-delà de la question de leur existence, le regard est porté ici sur les figures imaginaires : figures iconographiques rouges ou noires des vases grecs, celles de la peinture mythologique du XVIIe siècle, des croquis de la Belle Epoque ou du cinéma muet, figures textuelles aussi qui hantent depuis le XIIe siècle le théâtre, le roman ou la poésie européenne.