Maïssa Thabet, policière franco-palestinienne, est grièvement blessée lors d'un attentat. Pendant son hospitalisation de deux ans, une nouvelle drogue venue de Syrie, le Captagon, fait des ravages en Occident. Maïssa entre dans les services secrets et accepte une mission en Jordanie. Elle découvre un monde où les puissants manipulent les enjeux géopolitiques au profit de leurs luttes personnelles. ©Electre 2024

L'auteur de cet essai a personnellement connu l'écrivain sicilien. Il s'en tient aux grandes lignes d'une oeuvre qui reste à découvrir et ne nous livre, de la vie et de la personnalité de Sciascia, que le peu qui transparaît à la lumière de ses écrits. En fin de volume, il publie une nouvelle inédite et reproduit le texte d'une interview.

Dans ces entretiens radiophoniques, Jean Giono invite l'auditeur à partager avec lui une réelle complicité dans l'intimité de sa demeure. Les thèmes abordés : l'enfance, le premier voyage à 11 ans, le rôle du poète, les prisons, la douleur, la mort, les romanciers... Diffusé sur France Culture en 1965.

Ce lvire nous indique ce que les Français de la Belle Epoque ont découvert : le sport. La promotion du sport est favorisée par le renouveau des Jeux Olympiques, le développement de la bicyclette. Cette étude souhaite encourager les historiens français à se pencher sur le phénomène sportif. Loin d'être exhaustive, elle trace des pistes pour la recherche scientifique. Ouvrage richement illustré.

Jean Touzot, qui vient d'annoter et de préfacer le "Journal des années de guerre", a publié peu après une espèce de " dossier " que les énormités du Journal ont éclipsé. Le mot dossier convient mieux que ceux d'essai et de biographie entre lesquels se situe le livre. Le point y est fait sur les faits et gestes, autrement mieux que dans la filandreuse " vie " de Steegmuller, mais après une série de réflexions par thèmes : Cocteau entre le visible et l'invisible, son physique, ses vêtements, sa voix, ses objets familiers, ses réputations, ses apparitions dans les romans de ses contemporains, son isolement dans le monde littéraire, ses femmes, les égarements où le conduit, pendant la guerre, l'illusion de l'apolitisme des poètes... Le livre de Jean Touzot est à la biographie ce qu'est au portrait en pied le fouillis d'un tiroir de photos peu à peu mises en perspective sinon en ordre, ce qui ne conviendrait pas au sujet. Et le style choisi a du nerf, de la vitesse, sans se laisser contaminer par les tics du modèle.