Au sommaire notamment : Ruusbroec en son temps et dans les siècles (B. Beyer de Ryke) ; Le XVIe siècle : un mythe fondateur de la Belgique (M. Quaghebeur) ; La difficile entrée de Marnix de Sainte-Aldegonde dans l'historiographie littéraire de la Belgique francophone (M. Beyen) ; Quelques réflexions sur les singularités "belges" du prince de Ligne (M. Couvreur)...

Présente l'évolution de l'image de J.-J. Rousseau et de la perception de son oeuvre à travers soixante témoignages de ses contemporains. A la fin du livre, le lecteur trouve des éléments biographiques sur les témoins.

Dernier volet de la trilogie où il est question de Bruxelles, pôle d'attraction, d'Eugène Ysaye et de l'école belge de violon, du port d'Amsterdam, de la guerre civile espagnole, de l'Afrique du Sud. Le roman dépeint les vies parallèles des membres d'une famille belge touchée par l'émigration, le début des luttes sociales, la guerre, etc.

R. Flush, tricheur professionnel, et W. Vorobeïtchik alias M. Wens, dépêché à bord du paquebot Queen of Sheba, s'affrontent au poker sous de pittoresques déguisements.

Dans un collège pour jeunes filles de Mèrémont, une pensionnaire, Vissia, est retrouvée pieds et poings liés, étranglée avec ses propres cheveux. Aucune des dix-huit autres occupantes du dortoir n'a rien vu ni entendu. La direction du collège charge D. Marco de trouver le coupable en démontrant que le personnel est hors de cause. D. Marco découvre que l'établissement cache des moeurs étranges.

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oète de la translucidité secrète, de l’évidence allusive, de l’heureuse inadaptation, de la discordance harmonieuse, de la dissidence muette, prosodiste exempt de lourdeur comme de légèreté, captif de la chambre intérieure qui s’évade dans la ville : quels paradoxes définiront l’indéfinissable Périer ? Quelle histoire, intellectuelle et littéraire, quelles ascendances, quelles doctrines poétiques, quelles écoles situeront l’insituable Périer ?

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Publié en 1947 à Bruxelles, ce manuel culinaire propose des recettes classiques classées par genre, chaque genre est précédé d'une explication valable pour toutes les recettes qui suivent et qui sont décrites au minimum. Cette méthode permet de savoir faire des recettes qui sont proches, puisque les principes sont les mêmes.

L'histoire du roi des poissons et d'hommes qui cherchent à lui prendre ses femmes. Parallèlement, 8.000 ans plus tard, un petit garçon, Jim, vit dans un port de mer. Son père est parti à la guerre. Il parcourt le continent d'est en ouest durant quatre jours pour le retrouver. Quatre journées d'un voyage en train en compagnie d'hommes forts et d'une très belle femme.

Belgique - République Démocratique du Congo. Mars 2007. Les deux États reprennent leur coopération structurelle, interrompue depuis juillet 1990 par Mobutu. L’histoire se répète-t-elle ? Voici environ trente ans, les deux pays renouaient leurs liens de coopération, suspendus par le président zaïrois à la faveur d’une crise diplomatique. L’un des épisodes de cette période troublée commence le 30 novembre 1973. Ce vendredi-là, le général annonce un vaste programme de nationalisation d’entreprises appartenant à des ressortissants étrangers. Les victimes de la « zaïrianisation » sont-elles indemnisées de manière équitable ? Non. Elles réclament réparation. Aujourd’hui encore, trente-quatre ans après les faits, le dossier suit son cours. Quelque 150 affaires restent en souffrance devant les tribunaux belges. Que s’est-il passé ? Comment expliquer une telle situation, à la limite du concevable ? Les auteurs ont mené l’enquête. Au point de faire des découvertes… hallucinantes !

Avant de mourir, Edgard Brandt, célèbre avocat pénaliste, confie le manuscrit de ses mémoires à Antoine Maudet, écrivain méconnu. Il manque cinquante pages qui lui parviennent peu à peu et dans le désordre. Ces feuillets contiennent des informations sur l'assassinat d'une danseuse dans un bar bruxellois, survenu des années plus tôt. Antoine reprend l'enquête, aidé par Elise, entraîneuse au Medusa. ©Electre 2024

Comme le film des premières années se déroule dans la mémoire de celui qui est sur le point de quitter la vie, ces « Bulles bleues » s’échappent de la mémoire de Maeterlinck, à quelques mois de son dernier appareillage. Elles s’imposent à lui, il ne les rédige pas, les dicte à sa femme au fil de ses souvenirs lointains. Et c’est tout un univers qui ressurgit de l’oubli, nimbé de poésie, mais précis comme des enluminures médiévales. Maeterlinck n’idéalise pas ce qu’il se remémore. Il est quelquefois féroce, satirique, insolemment espiègle. Mais ce qu’il nous confie en toute simplicité, sans la moindre tentation d’autocélébration, c’est l’enfance d’un artiste qui deviendra poète, inspirera plasticiens et musiciens, sera l’un des pionniers de la modernité, dont on mesure, plus encore aujourd’hui que jadis, quel découvreur il était. Il est rare de pouvoir rejoindre avec une telle intimité la source de ce qui deviendrait un destin d’exception et une œuvre d’une importance essentielle. Les Bulles bleues nous réservent cette grâce. Maurice Maeterlinck, né le 29 août 1862 à Gand, et décédé le 5 mai 1949 à Nice, est le plus honoré des écrivains belges. Le prix Nobel de Littérature lui fut décerné en 1911.

Entre la mer du Nord et le Rhin, s'étend la Banane Bleue, une ville repoussante et damnée. Au-dessus, vole SuperRoman, qui se cache sous l'identité d'un journaliste du quotidien L'Eternité. Une lectrice a confié à Salomon d'Urtald, alias Stephen Mallarmus une mission : la suivre, afin de la protéger d'un motocycliste-fantôme. Ce qui le mènera loin, au coeur du roman où règne le second degré.

Lorsqu'un psychanalyste freudien déprimé voit entrer dans son cabinet Francesca Neumann, championne de tir au pigeon, il ne se doute pas que sa patiente va l'emmener dans un cauchemar incroyable. Au fil de sa cure, il tente de comprendre la relation de Francesca avec son soupirant, et de savoir d'où viennent les morts qui parsèment les rencontres de sa patiente avec Raphael di Portaluppi.