Présente les plus célèbres compétitions de voile du monde, de deux des plus grandes régates côtières, la Coupe de l'America et l'Admiral's Cup, à treize des grandes courses au large et des classiques océaniques, à travers des cartes des parcours des courses, les récits des exploits étonnants de ces marins intrépides, etc... (Livre Hebdo)

Recense et décrit dans leur cadre et leur paysage tous les chemins mis en place pour parcourir la France : pistes cyclables, chemins de halage, sentiers buissonniers, anciennes voies ferrées pour les cyclistes, les randonneurs, les joggeurs, les rollers, que ce soit pour la famille, les sportifs, les personnes handicapées, les jeunes ou les moins jeunes.

D’habitude, les recueils d’articles sont disparates. Ce n’est pas le cas de ce livre sur l’avenir de notre langue. Cet ouvrage adopte un point de vue, un point de vue francophone et notamment belge (figurent parmi les auteurs pas moins de trois membres de l’Académie royale de langue et de littérature françaises). Croiser ces points de vue est nécessaire, pour éviter tout malentendu, à qui entend défendre ou asseoir la place du français dans le monde. Ce recueil, intéressant dans les aperçus sur le français hors de France, déçoit dans son aspect militant. Mais comment plus de vingt communications, animées pourtant d’un même amour de notre langue, auraient-elles pu éviter des redites ou des contradictions ? Le combat géopolitique pour le français manque peut-être d’un grand homme, d’un visage, d’une voix : l’orthographe a eu son maître Capello et son Bernard Pivot ; l’O.I.F. confie sa présidence à des diplomates consensuels. L’avenir du français passera-t-il par un homme providentiel ?