Michaël Prazan, titulaire d'un doctorat de langue française, est journaliste et écrivain. Après avoir réalisé plusieurs documentaires et publié de nombreux essais (dont le dernier, Roger Garaudy : itinéraire d'une négation, paru en février 2007 chez Calmann-Lévy), il nous livre ici son premier roman.

Ces nouvelles amènent à découvrir le Zimbabwe et son peuple, aux prises avec l'inflation et les difficultés économiques. Elles mettent en scène les destins d'une femme qui ne supporte plus de vivre entourée d'enfants alors qu'elle est stérile, de la femme d'un politicien qui assiste à l'enterrement du cercueil vide de son mari, etc.

L'épopée fantastique d'une colonie de Romains confrontés aux raffinements de la culture chinoise. Une fresque historique qui nous emmène aux confins des Empires romains, perses et chinois.

Récit poignant sur le thème de la perte d'un être cher (le frère de la narratrice) et les conséquences sur l'équilibre familial. Premier roman.

Les limites de la vision économique de N. Sarkozy sont analysées par l'un des acteurs majeurs de l'économie française. L'essayiste dénonce des réformes périphériques, qui desservent selon lui la compétitivité de l'appareil productif, et appelle à préserver le moteur de l'économie de marché qu'est l'incitation à l'enrichissement personnel, incompatible avec l'appauvrissement des classes moyennes.

Les clés pour comprendre l'Ancien Régime, depuis les règnes de Louis XIII et Louis XIV jusqu'au début de celui de Louis XVI. Des nouveaux visages de la guerre ou de la diplomatie jusqu'à l'étiquette de la Cour, en passant par la naissance de l'art classique puis des Lumières, on découvre comment se construit l'originalité du modèle français.

Les coulisses du marché de l'art dévoilées à travers cette évocation du métier de commissaire priseur. Au récit de ventes médiatiques (celle des décors d'Apostrophe ou l'inventaire des collections du prince Jeffrey), se mêlent une dénonciation des dérives du milieu ou de l'hégémonie des maisons de vente anglo-saxonnes, et des révélations sur les créateurs et la psychologie des collectionneurs.

Elias Sanbar est un historien, poète et essayiste palestinien, né à Haïfa en 1947. Elias Sanbar a quinze mois lorsque sa famille s'installe au Liban après la proclamation de l'État d'Israël. En 1969, il poursuit ses études à Paris. Par la suite, il enseigne le droit international à Paris VII. Il enseigne ensuite au Liban puis aux États-Unis à l'université de Princeton. En 1981, Elias Sanbar participe à la fondation à Paris, de la Revue d’études palestiniennes, organe de diffusion de l'Institut des études palestiniennes1, revue dont il est devenu le rédacteur en chef. La revue a cessé de paraître en 2008. Il a participé aux négociations bilatérales à Washington, a dirigé, de 1993 à 1996, la délégation palestinienne aux négociations sur les réfugiés. Il est également membre du Conseil national palestinien depuis 1988. Il est membre du comité de parrainage du tribunal Russell sur la Palestine dont les travaux ont commencé le 4 mars 2009. Elias Sanbar est actuellement ambassadeur de Palestine auprès de l'Unesco (Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture)2.

Une anthologie de textes humoristiques, de François Rabelais à Pierre Dac, en passant par des auteurs moins connus dans ce domaine (Ronsard, Lamartine...) et par les mouvements tels que les Mazarinades ou le Collège de pataphysique.

Explique et analyse la fin de l'ère du pétrole. L'épuisement des ressources de la planète en hydrocarbures va radicalement transformer nos conditions de vie.

Depuis des siècles, le linceul de Turin a suscité tout à la fois les dévotions les plus ferventes et les hypothèses les plus folles. En revendiquant une "attitude de saine et simple curiosité archéologique", l'auteur reprend l'enquête et retrace l'histoire mouvementée du linceul, à la manière d'un roman policier.

Scènes de crime, opérations médico-légales, reconstitutions criminelles, procès d'Assises, le docteur Sapanet entraîne le lecteur sur le long chemin qui mène du crime obscur à la vérité judiciaire. Pour son cinquième opus, le Dr Sapanet revient sur une trentaine d'affaires criminelles passées sous son bistouri. Fusil de chasse, couteau de cuisine, sabre japonais, strangulation, chaque méthode a laissé sur les corps des victimes une signature que l'autopsie se fait fort d'authentifier. Parmi ces affaires, l'histoire du petit Nino, 9 mois. Sans la perspicacité de son équipe, ce dernier aurait rejoint la liste des bébés victimes de la " mort subite du nourrisson ". Mais l'autopsie confirmera de nombreux sévices dans les semaines précédant le décès et un secouage aussi violent que mortel. Quant à Marie-Lucie, 75 ans, elle aurait été inhumée après un décès qualifié de " naturel ".Tout était prêt, le cercueil sur le point d'être refermé, lorsqu'un doute a suspendu les funérailles. L'autopsie ordonnée in extremis a révélé l'ultime calvaire de la vieille dame, passée à tabac et étranglée. Scènes de crime, opérations médico-légales, reconsti-tutions criminelles, procès d'assises, Michel Sapanet entraîne le lecteur, avec humour et pédagogie, sur le long chemin qui mène du crime obscur à la vérité judiciaire.