4ème de couv. : Les amours d'Héloïse et Abélard ont pris place dans notre mythologie et l'historien est souvent prisonnier de ce charme. Ce que nous propose ici Jean-Pierre Letort-Trégaro, c'est le portrait d'un professeur. Précurseur des combats pour la raison et la liberté, Pierre Abélard (1079-1142) a conféré au travail pédagogique une dignité exemplaire. On a dit de lui qu'il était le philosophe de la jeune société bourgeoise du XIIe siècle. Textes à l'appui, l'auteur affirme qu'il fut le dernier professeur de l'Antiquité, obsédé par la volonté de forger ses élèves à la sagesse en les préparant au salut.

L'histoire d'Héloïse et Abélard est celle d'une passion, d'un couple, d'un drame, d'une séparation puis d'un dialogue renoué par-delà l'absence et poursuivi jusqu'à la mort. Ce roman rejoint les grandes légendes d'Héro et Léandre, de Didon et Enée, de Roméo et Juliette. C'est le prototype de l'amour interdit, maudit dès son origine, roulant vers sa fin tragique.La grande différence avec les légendes, c'est que cette histoire est vraie et connue à travers les écrits des amants eux-mêmes, conservés dans d'anciens manuscrits. L'autobiographie d'Abélard et les lettres bouleversantes que lui écrivit Héloïse nous émeuvent encore, près de neuf siècles plus tard. Elles se rangent parmi les textes majeurs de la littérature européenne.

4ème de couv. : Les amours d'Héloïse et Abélard ont pris place dans notre mythologie et l'historien est souvent prisonnier de ce charme. Ce que nous propose ici Jean-Pierre Letort-Trégaro, c'est le portrait d'un professeur. Précurseur des combats pour la raison et la liberté, Pierre Abélard (1079-1142) a conféré au travail pédagogique une dignité exemplaire. On a dit de lui qu'il était le philosophe de la jeune société bourgeoise du XIIe siècle. Textes à l'appui, l'auteur affirme qu'il fut le dernier professeur de l'Antiquité, obsédé par la volonté de forger ses élèves à la sagesse en les préparant au salut.

4ème de couv. : «Socrate français», selon ses contemporains, Pierre Abélard (1079-1142), philosophe, logicien et théologien, fut l'une des personnalités les plus célèbres du Moyen Age. Sa correspondance avec son élève Héloïse qu'il séduit, épouse et enfin nie avoir épousée - ce qui lui vaut d'être châtré, sur les ordres du tuteur de la jeune femme - reste un monument inégalé de la littérature universelle. Il s'y révèle arrogant et vaniteux, mais aussi charmeur, audacieux et extraordinairement éloquent. Contraint de devenir moine, Abèlard ne craint pas d'exposer les contradictions des Pères de l'Eglise, ou de...

4ème de couv. : Les amours d'Héloïse et Abélard ont pris place dans notre mythologie et l'historien est souvent prisonnier de ce charme. Ce que nous propose ici Jean-Pierre Letort-Trégaro, c'est le portrait d'un professeur. Précurseur des combats pour la raison et la liberté, Pierre Abélard (1079-1142) a conféré au travail pédagogique une dignité exemplaire. On a dit de lui qu'il était le philosophe de la jeune société bourgeoise du XIIe siècle. Textes à l'appui, l'auteur affirme qu'il fut le dernier professeur de l'Antiquité, obsédé par la volonté de forger ses élèves à la sagesse en les préparant au salut.

L'auteur a publié plusieurs ouvrages sur le même sujet, approfondissant chaque fois les tenants et aboutissants de cette lamentable affaire, un vrai massacre de l'amour. Il fouille les archives, écoute confrères, historiens et littérateurs, tous gens respectables dont les interprétations affermissent ses hypothèses. Rien n'est venu confirmer qu'elles soient moins plausibles que d'autres. Le lecteur jugera si elles ne le sont pas davantage.

Héloïse et Abelard : deux noms bien et mal connus ; En réalité, une "très haute histoire d'amour", vécue au siècle de Tristan et Iseult. Dialectique du couple, affrontement de la passion et de la philosophie, de la foi et de la raison, et, pour finir, triomphe d'un amour au-dessus de l'amour, sont ici évoqués avecles confidences même laissée par les actuers de ce grand drame humain à deux personnages. Source : Le Livre de Poche

Une présentation des fondements des relations entre l'Eglise et le monde moderne, illustrées par les figures de saint Bernard et Abélard. Le XIIe siècle, n'est pas seulement celui de Bernard Clairvaux. Des voix s'élèvent et parlent autrement de l'homme et de Dieu, du péché et de la liberté.