« La Première Défaite », de l'Argentin Santiago Amigorena, livre un très bon roman proustien d'apprentissage osant le romantisme sur fond des années 80. Une vraie audace.

Santiago Amigorena signe "Des jours que je n'ai pas oubliés", roman d'une rupture amoureuse. L'écrivain et cinéaste revient sur les mots et les visages qui le hantent : le premier est celui de la femme au centre de son roman, Julie Gayet.

Santiago H. Amigorena livre un nouveau volet de son oeuvre autobiographique, drôle et critique, sur ses toutes premières fois.

Délaissé par une jeune femme, le narrateur compose un traité du sentiment amoureux où l'élégance le dispute à l'humour.

Santiago H. Amigorena nous mène plus avant dans l'histoire de sa vie, "Les Premières Fois", ou le récit d'une adolescence dans les années 70, guidée par l'amour et l'écriture.

De livre en livre, Santiago H. Amigorena poursuit son autobiographie. "Les Premières fois" nous plonge dans son adolescence et ses amours éternels. Plus proustien que jamais.

Pendant quatre ans, l'écrivain et cinéaste a pleuré un amour perdu. L'occasion pour lui d'écrire une contre-histoire des années 1980.