Un voyage. Physique, symbolique, artistique. Avec Fleuve Congo, le musée du Quai Branly, à Paris, propose une magnifique (re)découverte des arts premiers africains.

Deux très belles expositions dévoilent les liens profonds de Victor Brauner avec les arts primitifs.

La manifestation consolide, année après année, un format original d'exposition-vente dans les galeries de Saint-Germain-des-Prés.

Au travers d'oeuvres inédites issues de collections publiques et privées, le Musée du quai Branly révèle des productions artistiques méconnues du Nigeria.

Le Musée du quai Branly présente pour la première fois l'art des populations de la vallée de la Bénoué, le fleuve qui traverse le Nigeria. L'occasion de remonter cet affluent du Niger d'ouest en est à la découverte de sa culture en sept escales.

Le Musée du quai Branly célèbre avec brio la figure du marchand d'arts primitifs,mais n'en révèle pas suffisamment les zones d'ombre.

Peu étudié, rarement montré, l'art de la vallée de la Benoué, principal affluent du Niger, se révèle au musée du Quai Branly. Une exposition charriant près de 150 masques convulsifs, maternités sévères et autres ″portraits céramiques″ qui devrait étourdir le public français.

Beaux Arts magazine s'est rendu chez les artistes adivasi qui, à l'écart de l'Inde des castes et des grandes communautés hindoues, intéressent de plus en plus de galeries à travers le monde. Un art envoûtant.

Le Parcours des mondes s'impose, à Paris, comme le plus important rassemblement d'art tribal international, avec soixante-huit participants témoignant de la bonne santé de ce marché.

Ce voyage initiatique, menant le visiteur des forêts du nord aux savanes du sud, illustre les liens entre les oeuvres produites dans les régions bordant le majestueux fleuve Congo, par diverses populations de langues Bantou