En Norvège, le développement des centrales hydrauliques – lié notamment à l'exportation d'électricité vers d'autres pays européens – inquiète les défenseurs de l'environnement.

En Turquie , divers projets sont mis en place pour contrôler la ressource naturelle la plus précieuse du pays : l'eau. L'un d'entre eux, un barrage controversé, submergera de nombreuses villes.

La question fait dissensus. "L'Obs" a ouvert ses colonnes à Yves Giraud, le directeur d'EDF Hydro, la filiale hydroélectrique de l'énergéticien et à Jacques Pulou, pilote du réseau Eau de France Nature Environnement Auvergne Rhône-Alpes. Pour le directeur d'EDF Hydro," les barrages sont le plus possible intégrés à leur milieu naturel". Jacques Pulou lui oppose qu'on "massacre des rivières grâce à l'aide publique !".

La lutte de 1978 contre le projet de barrage qui devait se dresser sur l'Eau noire, près de Couvin, a marqué l'histoire politique et sociale de la Belgique par son originalité, son audace et sa créativité. Elle présente une étape importante dans le développement de l'écologie politique. Retour sur une lutte victorieuse et ses inspirantes médiations culturelles.

Les constructions du gros rongeur bouleversent les paysages, font déborder les rivières et nécessitent l'abattage de nombreux arbres. Cet ingénieur hors-pair est-il une menace ou un bienfait pour l'environnement ? "SVJ" fait le procès du castor.

L'Unesco était contre. La Banque mondiale a refusé de le financer. Et pourtant, le plus haut barrage d'Afrique a vu le jour en Ethiopie. Aujourd'hui, il met en danger 200 000 nomades qui peuplent cette région, connue pour être un des berceaux de l'humanité.