Portés par le développement de la Ged et du workflow, les logiciels de gestion et de suivi de courrier se multiplient. Sous-ensembles d'applications documentaires ou modules autonomes, ces solutions intéressent surtout les collectivités et les administrations.

A quels enjeux sont confrontés les services généraux ? Quelle est la tendance en matière de dématérialisation du courrier, de gestion et d'externalisation des archives ?

L'expression "c'est passé comme une lettre à la poste" va-t-elle trouver un écho dans les solutions de traitement globales du courrier entrant ?

Trop de papiers dans la boîte aux lettres ? Noyés dans les emails ? Il est temps de se mettre à la Gestion électronique de courrier (GEC). Voici les questions qu'il faut d'abord se poser.

Essor, en France, des solutions dédiées à la Gestion électronique du courrier (Gec) alors que les organisations, privées comme publiques, sont aujourd'hui nombreuses à dématérialiser leur fonction courrier, particulièrement importante pour leur fonctionnement. Le marché du logiciel dédié à la Gec a généré en 2014 un CA de 636,91 millions d'euros, soit une hausse de 4,4 % par rapport à l'année précédente. Revue de détails des critères à prendre en compte pour bien choisir son Gec avec un panorama, sous forme d'un tableau, des solutions disponibles en France (mention du nom des éditeurs).

En pleine transformation numérique, les entreprises françaises, privées comme publiques, mettent en place des projets de gestion électronique de courrier (GEC) pour plusieurs raisons : optimiser les flux papier, mail ou fax liés à la gestion du courrier, mais aussi disposer d'un cadre sécurisé et pérenne pour passer le cap de la dématérialisation avec succès. A la clé ? Des relations avec les usagers, administrés et clients de meilleure qualité. Cependant, certaines organisations hésitent encore à se lancer, devant la profusion et la disparité des offres.