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Cinéma iranien

Article

Auteurs
Trois actrices iraniennes majeures sont présentes au Festival pour témoigner de la vitalité du cinéma de leur pays et faire avancer la cause des femmes.
Numéros de page :
pp.80-82

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Bulletin : Première 2021
Auréolé d'un Ours d'or à la dernière Berlinale pour son formidable "Le Diable n'existe pas", le cinéaste iranien reste en liberté surveillée dans son pays qu'il n'a pas le droit de quitter. Portrait d'un artiste toujours debout malgré les vents contraires.
Numéros de page :
pp.44-47

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Une définition du désordre. En cette année olympique, le palmarès du 77e Festival de Cannes finit médaille d'or du saut en stupeur. "Télérama" décrypte cette édition 2024.Sommaire. A côté de la Palme. Cinéma, vie, liberté, le sacre de Mohammad Rasoulof. Les temps forts du festival.
Numéros de page :
pp.14-23

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Date parution pério
2022-12-17
Malgré une censure impitoyable, le cinéma iranien indépendant s'est ménagé une place privilégiée dans les plus grands festivals, Cannes en tête. Abbas Kiarostami, Jafar Panahi, Asghar Farhadi... Dès les année 1990, les cinéphiles français ont déroulé le tapis rouge à ces réalisateurs plus ou moins critiques du pouvoir, dont les oeuvres ouvraient une fenêtre sur ce pays corseté. Aujourd'hui, ce septième art s'est normalisé au contact du grand public international, mais la révolte actuelle devrait faire émerger des films toujours plus contestataires.
Numéros de page :
pp.98-103

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Bulletin : Europe 1093
Date parution pério
2020-05-01
Raphaël Bassan livre la critique du deuxième long métrage du réalisateur iranien Massoud Bakhshi intitulé "Yalda, la nuit du pardon".
Numéros de page :
pp.262-265

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Bulletin : Positif 723
Date parution pério
2021-05-01
Une grande exposition et une intégrale au Centre Pompidou, une rétrospective en salles, des coffrets DVD riches et denses, une excellente monographie inédite : presque cinq ans après sa mort, l'oeuvre si précieuse du plus grand cinéaste iranien devrait être plus présente que jamais dans l'espace public français.
Numéros de page :
pp.78-80

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Bulletin : Positif 735
Date parution pério
2022-05-01
Depuis la révolution de 1979, une nouvelle période a commencé pour le cinéma iranien, dont les représentants les plus connus à l'étranger sont :Abbas Kiarostami, Am ir Naderi, Mohsen Makhmalbaf, Samira Makhmalbaf, Jafar Panahi, Bahman Ghobadi, Mohammad Rasoulof, Abolfazl Jal iii, Rakhshan Banietemad, Shahram Mokri, Asghar Farhadi, entre autres. Plus récemment, on peut dire que le talentueux Saeed Roustayi incarne une nouvelle génération de cinéastes, qui porte un cinéma populaire, différent du cinéma d'auteur iranien qu'on connaissait jusqu'à présent en Occident.
Numéros de page :
pp.24-25

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Bulletin : Positif 735
Date parution pério
2022-05-01
De temps en temps surgit, dans le ciel du cinéma que l'on nomme écran, une étoile fulgurante. Presque toujours, il s'agit d'une actrice ou d'un acteur élevé au rang de divinité par la presse et la publicité. Plus rarement, l'étoile est un réalisateur, comme cela s'est produit récemment dans le cas de Quentin Tarantino. Parmi ces quelques apparitions éclatantes, on compte l'Iranien Abbas Kiarostami.
Numéros de page :
pp.58-60

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Bulletin : Positif 735
Date parution pério
2022-05-01
Il y a 43 ans, le 1er février 1979, l'ayatollah Khomeyni revenait d'exil et, très vite, présidait à l'instauration d'une République islamique en Iran, un régime très autoritaire pratiquant la censure (comme le Shah auparavant, mais en pire), endoctrinant, surveillant et emprisonnant à tout-va. Or, contre toute logique, cette nouvelle ère très sombre s'est accompagnée, dès la fin des années 1980, d'un fantastique essor du cinéma iranien, primé à de multiples reprises dans les festivals internationaux (depuis "Le Goût de la cerise" d'Abbas Kiarostami, Palme d'or à Cannes, en 1997).
Numéros de page :
pp.62-65

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Bulletin : Positif 739
Date parution pério
2022-09-01
Après les propos recueillis par Mamad Haghighat (no 735, p. 24) "Positif" a souhaité rencontrer Saeed Roustaee ("La Loi de Téhéran"), à l'occasion de la sortie de "Leila et ses frères". Révélé par la compétition cannoise, cet opus, oublié du palmarès, a frappé les esprits par ses différences d'avec le récent thriller qui avait triomphé en Iran et conquis un large public en France.
Numéros de page :
pp.14-22
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B3 Centre de ressources Musique et Cinéma 791 HIS GHASEMIAN Disponible
ésthétique, sociologie et ontologie
Année de parution :
2022
Le rapport entre la réalité et le mouvement cinématographique nécessiterait une nouvelle relecture historique et esthétique à travers l'évolution de la caméra portée dans le cinéma mondial, notamment le cinéma iranien. Grâce au développement technologique, la caméra portée à l'épaule et au poing applique ses fonctions variées à l'image. Pour pallier le peu d'analyses ayant jusqu'ici abordé le sujet, cette étude transversale explore sa position, ses fonctions et son évolution dans la mise en scène de films iraniens, entre 1957 et 2016. Comparant des films pré- et post-révolutionnaires, elle met en lumière la différence entre la caméra portée et la caméra subjective, aborde également la Nouvelle Vague iranienne, les cinémas internationaux et l'emprise du cinéma direct mondial sur le cinéma de fiction iranien. Elle analyse la mutation de ce dispositif vers le cinéma documentaire-fiction iranien post-révolution (dès 1980) mais aussi son rôle dans le cinéma de fiction post-Mouvement vert (2009-2016), à travers deux films d'Asghar Farhadi : Une Séparation (2011) et Le Client (2016). Un outil qui permettra aux acteurs du monde du cinéma et aux cinéphiles vigilants de mieux appréhender l'utilisation de la caméra portée dans le cinéma iranien, rapportée à une tendance du cinéma international.
Editeur :
Collection :
L'Iran en transition
Importance matérielle :
1 vol. (276 p.) : 24 cm
9782343257068
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Date parution pério
2024-09-01
Au début, les films de l'Iranien Mohammad Rasoulof ne nous parvenaient pas, puis nous les avons vus au compte-gouttes. D'emblée s'y signalait un cinéaste majeur. À Cannes, dans la section Un certain regard, il présentait Au revoir en 2011, puis, en 2013, le brûlot Les manuscrits ne brûlent pas, égrenant sur scène les noms de ses collaborateurs qui ne pouvaient pas risquer de figurer au générique. Depuis, c'est la consécration à l'étranger et un calvaire dans son pays, où il fut emprisonné.
Numéros de page :
pp.6-8, 10-14