Le parti nationaliste hindou du Premier ministre indien joue plus gros qu’il ne le pensait dans les législatives qui vont se dérouler en avril-mai 2019. Les divers partis d’opposition peuvent profiter du mécontentement social grandissant. Sommaire. Ce n'est pas gagné pour Modi. Les musulmans, électeurs ignorés. Le chômage au plus haut.

Réduire les inégalités tout en rassurant les investisseurs étrangers : telle fut la mission impossible de celui qui pilota la politique monétaire de l’Inde de 2013 à 2016.

En Inde, une infime partie des dalits échappent à leur condition d’intouchables grâce à la politique des quotas, qui leur ouvre la voie aux études et aux emplois. Ils n’en restent pas moins des parias malgré leurs efforts pour cacher leur origine. Ce n’est que loin du pays natal qu’un "coming out" devient possible.

Sa vie de ıpetits riensı est un itinéraire de révolte. Femme engagée, elle a fait le pari de la liberté et interroge tous les dogmes. Afin de ırendre visible l'invisibleı.

Une croissance élevée, mais un sous-emploi d'ampleur. C'est l'un des paradoxes saisissants qui caractérise le pays le plus peuplé du monde, qui vote du 19 avril au 1er juin. Données chiffrées. Graphiques.

Enquêtes et reportages sur l'Inde, scindés en 7 grands thèmes : histoire, géopolitique, société, économie, civilisation, art de vivre, culture. Sommaire. Planète Bharat.Claude Markovits : "Juger l'Inde à partir de nos États-nations, c'est négliger sa diversité" La splendeur des Grands Moghols. L'homme qui rêva des Indes françaises. La méthode Modi. Le choc des deux géants asiatiques. La métamorphose de l'armée. Dans le laboratoire de l'Inde moderne. Tous fous de cricket. Reema Nanavaty : "Les femmes indiennes n'ont pas encore conquis leur liberté économique" Quand l'Inde décroche la Lune.

Alors que les élections législatives se tiennent jusqu'au 1er juin 2024, Narendra Modi, au pouvoir depuis 2014, est donné gagnant pour un troisième mandat. Plongée dans un pays qui a peu à peu basculé dans le nationalisme hindou. L'analyse se conclut par l'interview de Christophe Jaffrelot sui déclare ''L'Inde devient une démocratie illibérale''.

Pionnier des innovations de terrain, Anil K. Gupta a exercé pendant trente-six ans dans l’un des instituts de management les plus reconnus en Inde, l’Institut indien de management d’Ahmedabad. A l’origine de multiples initiatives, il défend l’idée selon laquelle les plus pauvres ont besoin d’un investissement accru dans le savoir plus que dans les choses matérielles – les intellectuels étant tenus de lutter pour favoriser la connaissance et le dialogue avec la population.

L’Inde est sur le point de devenir la cinquième puissance du monde. Les inégalités y progressent, et aux divisions de classe vient s’ajouter la hiérarchie des castes. Si le système de quotas dans l’enseignement et la fonction publique a permis à un petit nombre de dalit (intouchables) d’intégrer la classe moyenne, la majorité vit dans la pauvreté. Tout comme les peuples autochtones (« adivasi »). Présence d'un article intitulé "Ces femmes qui reprennent du miracle indien".